lundi 3 juin 2019

Tchiiikkkich !

hôpital privé des Peupliers dans le 13eme,  il y a un arrêt de bus juste devant, l'entrée....quelqu'un a déféqué sur le banc et a bien réparti la chose sur toute la surface, avec soin...on est à un degré supérieur d'incivilité....
en couv' de Grazia, miss Aya a une couleur qui incite à l'achat....ça donne à penser...je dis ça je ne dis rien
est le sosie vocale de .....
Rokhaya Diallo
dans les gradins de Roland Garros, on repère des couples mixtes
Blaise Matuidi et Madame, Isabelle....
Claudia Tagbo a un coquin
à rajouter à notre liste :
et Lindsey Vonn, la skieuse retraitée est avec un joueur de hockey, un dénommé Pernell Karl Subban...connais pas....elle était avec le golfeur Tiger Wood
on nous rappelle que G.Monfils est avec la joueuse Elina Svitolina
 
j'ai regardé les 10 premières minutes de Rue case nègre, le film  d'Euzhan Palcy, dont on n'a pas de nouvelle d'ailleurs...même pas la force de googeliser...donc les premières images, on dirait du studio et les enfants hurlent, sont mauvais...autre hypothèse je ne suis pas d'humeur pour ça...j'ai lu le bouquin de J.Zobel....
Balaaaaatttttaaaaaaaaaaaaaa
"Nous sommes en 1690. Pour le Roi Soleil, le sucre est une denrée précieuse. Il faut intensifier le commerce triangulaire, et encourager plus de travailleurs à aller aux îles. C’est dans ce contexte que débarquent en Martinique Jean Rouen, fils d’un drapier normand, et le Père Labat pour y vivre la grande aventure du Rhum…"
le bataillon créole de Confiant m'avait épuisé...
 
1914. Ils ont vingt ans, Alfa Ndyaye et Mademba Diop, deux jeunes Sénégalais amis d'enfance, venus de leur village sur le sol français pour défendre la patrie. "Vous les chocolats d'Afrique Noire vous êtes naturellement les plus courageux parmi les courageux. La France reconnaissante vous admire", leur répète le capitaine Armand. Alors quand il leur ordonne de sortir de la tranchée pour affronter l'ennemi, ils font comme leurs camarades, ils sortent du trou et se lancent en hurlant, "le fusil réglementaire dans la main droite et le coupe-coupe sauvage dans la main gauche".
 Un jour, à la sortie de la tranchée, Mademba Diop est blessé. La mort ne vient pas tout de suite. "Lui, Mademba, n'était pas encore mort qu'il avait déjà le dedans du corps dehors". Alors que les soldats ont depuis longtemps rejoint la tranchée, Alfa reste  au côté de Mademba, assistant à la longue agonie de son "plus que frère", sans savoir quoi faire. "Trois fois il m’a demandé de l’achever, trois fois j’ai refusé".
"Elles sont anciennes ministres, maire de Paris, leaders de formations politiques, conseillère présidentielle. A priori, rien ne les prédestinait à de telles carrières. Nées à l’étranger, Anne Hidalgo,
Rama Yade, Sibeth Ndiaye, Najat Vallaud-Belkacem, Myriam El Khomri et Raquel Garrido sont arrivées en France durant leur enfance ou leur adolescence. Pour ce livre, elles ont raconté à Candice Nedelec leurs souvenirs d’immigrées, la gifle du racisme, l’intégration de leurs parents et la leur, leur relation à la laïcité, leur entêtement à prendre la nationalité française et leur désir, enfin, de s’investir en politique."
Première femme d'origine africaine à occuper les fonctions de chargée de communication du président et de porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye est un symbole. Elle a notamment reçu des lettres: «On me remerciait d'être là, d'être visible», raconte la femme politique à Candice Nedelec, dans les pages de Parce qu'elles viennent de loin (Edition Fayard) dont le magazine Gala dévoile quelques extraits. Mais les compliments et les encouragements sont rares, les remarques racistes ordinaires. Originaire du Sénégal, où elle a grandi jusqu'à ses 15 ans avant de venir faire ses études à Paris, Sibeth Ndiaye a souffert des réflexions sur sa couleur de peau à son arrivée en France, avant sa naturalisation en 2016. «Je me suis pris de plein fouet toutes les remarques et insinuations», confie-t-elle.
Lors de ses premiers jours dans une école de Saint-Germain des Près, «on la question maladroitement sur l'endroit où elle habitait à Dakar. Avait-elle l'eau, l'électricité», rapporte Candice Nedelec. Une «ignorance terrifiante» qui a surpris Sibeth Ndiaye. «Ce n'était pas malveillant mais c'était très révélateur du rapport de la France avec son ancienne colonie. Une vision paternaliste avec l'idée que ce sont des sauvages qui n'ont pas accédé à la modernité», analyse-t-elle avec le recul. La jeune femme prend alors conscience: «Avant d'arriver en France, je ne m'étais jamais interrogée sur la couleur de ma peau. Je ne l'avais même jamais regardée. Ma mère ayant la peau claire, j'ai grandi sans me poser de questions quant aux différentes nuances de peau. C'était un non-sujet. Mais en France, j'ai compris que je n'étais pas comme les autres. Parce que j'étais noire».
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Le racisme, Sibeth Ndiaye a continué de le côtoyer après ses études, à chaque étape de son parcours. Même aux plus hauts niveaux de l’État. Un épisode notamment l’a énormément marquée : le salon de l’aéronautique au Bourget, en 2015, auquel elle participe au côté d’Emmanuel Macron. Il était alors ministre de l’Economie, elle était sa conseillère. « A chaque stand, toute la délégation passait et j’étais la seule à être arrêtée par la sécurité ! », peut-on lire dans les extraits de Parce qu’elles viennent de loin. « Il était inconcevable, pour eux, d’imaginer une Noire conseillère com’ d’un ministre. Au premier stand, je me suis dit que ça n’était pas grave. Au quatrième, je me suis assise à l’écart sur des marches, et j’ai pleuré. » Elle a terminé le salon en tenant la main au préfet, pour passer les barrages de sécurités. Une véritable humiliation pour Sibeth. Depuis, Emmanuel Macron a pris l’habitude de vérifier la présence de sa conseillère pendant ses déplacements. « Où est Sibeth ? », demande régulièrement le président, « haut et fort », précise Candice Nedelec.
 je ne m'étais jamais interrogée sur la couleur de ma peau. Je ne l'avais même jamais regardée. Ma mère ayant la peau claire, j'ai grandi sans me poser de questions quant aux différentes nuances de peau. C'était un non-sujet. Mais en France, j'ai compris que je n'étais pas comme les autres. Parce que j'étais noire».
=err euh vraiiiimmmmeeennnttt sérieusemmmeeennnnttt....soit c'est...ou alors...on dirait un des mythos de l'humoriste Claudia Tagbo.....en tout cas, je n'ai pas d'énergie pour ça....au seeccoouurrsss !...y'a pas de colorism en Afrique ???? ....les sénégalais riches ne subissent pas le racisme ???.....
y'a pas si longtemps, J.L Borloo se répandait sur toutes les ondes réclamant 10 milliards par an pour électrifier l'Afrique...
<<<dès que ta négritude est associée à l'Afrique, tu peux être sûr que tu vas en entendre : guerre, famine, sécheresse, maladie, pas d'électricité, pas d'eau potable et animaux sauvages....
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leur plus grande jubilation c’est de porter dans leurs entrailles un enfant dont la moitié du sang est blanc et quand Nagazan s’évertue à leur rappeler que tous les homo-sapiens ont le sang rouge, elle se fait traiter de rabat-joie rabougrie….leur principale interrogation de femme enceinte c’est de savoir si leur rejeton sortira café au lait, moka, capuccino, réglisse, caramel, beurre salé ; leur terreur qu’il sorte aussi noir qu’elles, vire horreur enfer et damnation_ carrément charbon.
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Nagazan appelle cela la colonisation des esprits, cette attitude fréquente sous les latitudes équatoriales qui consiste à voir ce qui est blanc comme ce qu’il y a de mieux sur cette planète et par conséquent à dénigrer tout ce qui est noir, à commencer par soi-même. Il n’y a pas de honte à être noir, de même qu’il n’y
a aucune fierté particulière à l’être, contrairement à ce que claironnent les afro-américains….
http://femme-noire-et-negritude.blogspot.com/2013/02/je-vous-souhaite-la-pluie.html
Les Français ne peuvent plus voyager en Afrique
https://www.youtube.com/watch?v=YeCyYUgwyaU
 
...on ignore combien de millions de personnes d'origines africaines vivent en France, les statistiques ethniques sont interdites on sait précisément le nombre d'expatries en Afrique il en reste 125 000 en comptant les binationaux et c'est le comble les français se replient au moment où l'Afrique se réveille les chinois, les turcs, les marocains ,nos voisins européens voyagent investissent et nous remplacent.
....sans soupçonner les dessous de l'existence, sans savoir qu'on ne pense pas comme on parle et qu'on ne parle point comme on agit; sans savoir qu'il faut vivre en guerre avec tout le monde, ou du moins en paix armée, sans deviner qu'on est sans cesse trompé quand on est naïf, joué quand on est sincère, maltraité quand on est bon....
Le pardon, Maupassant
"mon père ? Il a tué ma mère, ma sœur, mon frère puis il m'attendu dans la cuisine pour me tuer"
j'ai lu un Thomas H.Cook, Mémoire assassine, err euh pourquoi je me suis infligée ça ?...parce que...je pensais que je serais récompensé par un climax du tonnerre....ben non !
des grosses ficelles- fausses pistes vers l'inceste, une maîtresse, le premier fils dont il n'est pas le vrai père, etc...au secours...le père aurait tué sa famille parce qu'il étouffait, était malheureux, le fils revit la même chose avec sa famille...sa femme craignant qu'il ait une maîtresse, quitte la maison avec leur fils et a un accident mortel à cause de la pluie.....ça c'est vraiment pute...
le narrateur a 40 ans et se souvient d'évènements de ses 9 ans....plus on tourne les pages, plus il se souvient...
<<<plus jamais.....ça m'a épuisé....ma période polar aura été de courte durée....livre recommandé par mon gourou polar....
Neymar, le footeux brésilien est accusé de viol par une brésilienne qui a porté plainte au Brésil deux semaines après les faits...riposte du joueur qui publie une vidéo pour nous dire sa vérité et les captures d'écran de ses échanges avec la fille, une jeune et jolie blonde....aouch le lendemain de leur rencontre, elle lui a demandé un cadeau pour son fils...donc s'il avait tout effacé de cette histoire, il serait très embêté...
mais surtout c'est moi, ou il est de plus en plus métis....avec doigts au fond du pot...chimique....je dis ça, je ne dis rien...d'après son historique de date avec pénétration : il les aime blonde...comme maman....
nous avions vu en salle Un amour impossible, avec mam'zelle V.Efira....je m'en souviens parce que je n'avais pas payé ma place...ça m'avait semblé long...j'avais retenu qu'Efira était drôlement convaincante, je ne souviens pas l'avoir vu dans quoique ce soit...pas dans mon radar...
puis je suis tombée sur le bouquin sur l'étagère de quelqu'un...aouch ! l'adaptation est nettement supérieur au bouquin...le style de l'auteur, me fatigue...on est content de lire n'importe quoi avec un sujet, un verbe, un complément, un putain de sens...
p.156 : là, ça a été très rapide. Elle s'est assise à côté de lui. Et dans la voiture à l'arrêt, ils ont parlé
-j'ai des choses à te dire en ce qui concerne Christine et son père. Il ne faut absolument pas qu'elle aille à Paris ce week-end. Ce sera catastrophique pour elle. Car il l'a sodomise depuis des années. Elle a mis un temps avant de comprendre de quoi il s'agissait. Puis elle a reçu un coup sur la tête.
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ce quelqu'un me passe :
que j'ai lu, c'était plutôt une lutte...il faut subir son histoire d'amour avec une Marie-Christine pour arriver au vif du sujet...donc entre 14 et 16 , il se passe ce qui se passe entre le père et la fille...
 
p.178 : j'ai 16 ans. Marc en a 30. C'est un ami de ma mère, il devient mon premier amant, il est indien d'origine, ingénieur chimiste chez Henkel. Il voit mon père, il lui dit qu'il faut arrêter la sodomie, il me dit que ça peut être dangereux pour moi. Il en parle à mon père. Nous allons au cinéma un jour tous les trois, je suis avec Marc et mon père à l'hôtel, je ne suis pas avec. Mais au cinéma, un film avec Charleston Heston de science -fiction, Soleil vert. Je caresse leurs deux queues car je suis au milieu d'eux deux. C'est mon pire souvenir de tout.
 
il n'y a pas de règlement à OK Corral...ils s'écrivent mais à 18 ans, ils se revoient et j'ai peur d'avoir compris qu'ils remettaient ça...là, elle m'a perdu....
 
p.151: et surtout, à un moment donné, je revois son regard. Qui était un regard de désir et je me disais "c'est reparti". Il ne va pas faire ce qu'il avait dit" ou alors je savais que ce serait infernal, qu'il me ferait voir ce désir, qu'il le retenait pour me faire plaisir. L'hôtel, deux chambres, le moment de se dire au revoir, et allez. C'était reparti. C'est à ce moment-là que j'ai décidé de me retourner, de retourner mon corps, de me retourner moi. Pourquoi ? Etre considérée enfin comme une femme, pas comme un cul, un trou du cul, beurre sur la crepe retourné, vaseline, je n'étais pas qu'un cul, j'ai commencé de prendre le pouvoir à partir de ce moment-là. Sur ctte histoire, et maintennat je l'ai. Au début j'étais dessous, j'avais le dessous. Proposer de me retourner de moi-même du bon côté, j'écrivais déjà, j'avais commencé. Prendre le pouvoir avoir le dessus. Et maintenant je l'ai. Lui a perdu la tête, Alzheimer. Moi, j'ai le dessus sur l'inceste. Le pouvoir, le pénis sadique, ça y est, grâce au stylos  dans ma main sûrement, essentiellement.
cette lecture vient donc après le procès et la mort de Denis Mannechez, qui lui a fait un enfant avec sa fille...et cette réalité est bien plus palpable, troublante que le flou du roman....
 
Son cas était pour ainsi dire unique dans les annales judiciaires. Deux jours après sa condamnation à la perpétuité pour l’assassinat de sa fille et ex-compagne âgée de 33 ans, et le meurtre d’un garagiste qui hébergeait la jeune femme, Denis Mannechez est décédé ce vendredi matin. L’homme de 56 ans a été retrouvé mort à l’hôpital pénitentiaire de Fresnes (Val-de-Marne) où il a succombé à un arrêt cardiaque.
Ce père incestueux s’était mis en ménage avec sa fille, dont il a eu un fils. Mais en octobre 2014, alors que celle-ci l’a quitté, il abat Virginie, 33 ans, à Gisors (Eure). Il tire ensuite sur son employeur, un garagiste de 31 ans, qui avait accepté d’héberger la jeune femme et son enfant. Puis retourne l’arme contre lui, mais survit, après plusieurs mois de coma.
hémiplégique et muet, mais pleinement conscient, l’homme a été jugé du 3 au 19 décembre par la cour d’assises de l’Eure qui avait pour l’occasion mis en place une organisation inédite : horaires allégés (quatre heures par jour), rampe d’accès, et surtout utilisation d’un logiciel de synthèse vocale pour retranscrire ses propos. Avec son seul bras valide, Denis Mannechez formait ses réponses grâce à une tablette numérique.
« Son cœur a lâché, nous confirme Me Marc François, son avocat. Il n’avait aucun problème cardiaque, c’est complètement inattendu. Son corps lui a en quelque sorte rendu ce qu’il avait souhaité en 2014 : il avait raté son suicide, et finalement il meurt deux jours après le verdict. »
Denis Mannechez avait déjà été condamné en appel en 2012 à cinq ans de prison, dont trois avec sursis, pour des viols commis sur deux de ses filles dont Virginie. Leur mère avait été condamnée pour complicité. Un procès qui faisait suite à la dénonciation de Betty, l’une des filles abusées par cet homme manipulateur et tout puissant. Mais, sous pression de ses proches, celle-ci était alors revenue sur ses accusations. La famille avait fait bloc, évoquant une forme d’« inceste consenti », expliquant en partie la clémence du verdict.
Mais deux ans plus tard, Virginie avait fui cet homme et coupé les ponts. Il avait retrouvé sa piste chez ce garagiste et tuée. « La tenue de ce procès aura permis aux victimes d’aller jusqu’au bout et à la justice de faire son travail, y compris dans des conditions difficiles », observe encore Me Marc François, rappelant que Denis Mannechez avait accepté sa peine et fait savoir qu’il ne ferait pas appel.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/denis-mannechez-meurt-deux-jours-apres-sa-condamnation

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