samedi 17 octobre 2020

Octobre est toujours là...part 2

ascenseur émotionnel pour les arabes...un pakistanais pas mineur : ouf c'est pas nous !
un réunionais martiniquais avec une belle tête d'arabe :ouf c'est pas nous....
un tchèchène né en Russie : yep c'est pas nous !
les fâcheux bandaient durs sur twitter.....


Octobre est toujours...là

Youpi ! un couvre-feu de je ne sais pas combien de temps entre 21h et 06 du mat'...des "putains  de professeurs en je sais ce qu'il faut faire et je m'en vais vous le dire" partout sur les ondes....au seeccoouurrss !...
pensée aux miséreux qui jonchent les trottoirs...
sinon j'amerais bien que mon obsession : manchon de poulet-cake aux fruits prenne fin...
pour les manchons j'ai vraiment essayé toutes les marques, et j'ai bien l'impression que c'est la  même usine qui fabrique le produit....la lecture des ingrédients fait...peur : "manchons de poulet traités en salaison, eau, sel, dextose, cassonade, sirop de glucose, protéines de pois, fibres de carotte, arômes naturels, gélifiant, carraghénanes"
et mon intestin irritable, me recommande de les manger seuls suivi d'un...verre d'eau avec du bicarbonate de sodium...quant au cake aux fruits, consommé avec du thé, je suis aux portes de chez Harrods(sur le site)...après La grande Epicerie, Fauchon...
je suis entrée dans une période black britton...je délaisse l'Inde pour l'instant : c'est trop moche !
je me suis tapée un long doc sur le Klan d'Arte la semaine dernière...mon attention n'était pas soutenue, turlupinée que j'étais par l'absence des juifs, et des autres basanés qui ne sont pas noirs(ou ne se considèrent pas comme) et même les bridés....les "autres" ont tiré bénéfice eux aussi des conséquences des droits civiques...
j'apprends l'existence et la mort de Claudia Jones...google translate me dit :
Claudia Jones, née sous le nom de Claudia Vera Cumberbatch, est née à Trinité-et-Tobago le 21 février 1915.
À un jeune âge, elle et sa famille ont déménagé aux États-Unis et en grandissant, Claudia s'est impliquée dans l'activisme politique à travers le communisme.
En raison de ses liens avec le communisme, à une époque où les communistes américains étaient persécutés, Claudia a changé son nom pour Jones afin de se protéger.
Cependant, en 1955, Claudia a été expulsée des États-Unis en raison de ses opinions politiques et s'est installée au Royaume-Uni.
En 1958, Claudia Jones a fondé le premier grand journal noir de Grande-Bretagne, le West Indian Gazette, quelques mois avant les émeutes raciales de Notting Hill et Nottingham de cette année-là.
Après les émeutes, Claudia a vanté la nécessité de «laver le goût de Notting Hill et de Nottingham de notre bouche», et il a été suggéré qu'un carnaval soit organisé en conséquence.
En janvier 1959, le tout premier carnaval caribéen du mardi gras a eu lieu à Londres et est finalement devenu, en 1966, le très célèbre carnaval de Notting Hill, qui est depuis lors un événement annuel.
Malheureusement, Claudia n'a jamais assisté au premier carnaval de Notting Hill puisqu'elle est décédée le 24 décembre 1964 après avoir subi une crise cardiaque à la suite de la tuberculose qu'elle avait contractée à l'origine pendant son adolescence.
Comme Nat Turner, je ne sais pas quoi faire de l'existence de mr Reeves...tout ça vient trop  tard...c'est comme René Marrant j'aurais aimé qu'on me dise qu'il a eu le prix Goncourt en 1921....
Bass Reeves (July 1838 – January 12, 1910) was an American law enforcement officer. He was the first black deputy U.S. marshal west of the Mississippi River. He worked mostly in Arkansas and the Oklahoma Territory.[a] During his long career, he was credited with arresting more than 3,000 felons. He shot and killed 14 people in self-defense....
As a freedman, Reeves moved to Arkansas and farmed near Van Buren. He married Nellie Jennie from Texas, with whom he had 11 children....
https://en.wikipedia.org

Bass Reeves (juillet 1838 - 12 janvier 1910) était un agent d'application de la loi américain. Il était le premier maréchal américain adjoint noir à l'ouest du fleuve Mississippi. Il a travaillé principalement en Arkansas et dans le territoire de l'Oklahoma. [A] Au cours de sa longue carrière, il a été crédité de l'arrestation de plus de 3 000 criminels. Il a tiré et tué 14 personnes en légitime défense ...
En tant qu'affranchi, Reeves a déménagé en Arkansas et a cultivé près de Van Buren. Il a épousé Nellie Jennie du Texas, avec qui il a eu 11 enfants ...
L'éditeur de livres de longue date Dawn Davis est sur le point de superviser le célèbre magazine culinaire et la chaîne YouTube en tant que nouveau rédacteur en chef.
Elle a été nommée au poste en août, mais devrait officiellement commencer le 2 novembre.
Le nouveau poste de Davis fera d’elle la première femme noire à diriger Bon Appétit, en plus d’être la troisième rédactrice en chef noire d’une publication de Condé Nast.
Dawn Davis, 55 ans, travaille dans l'édition depuis 25 ans.
Elle est diplômée de l'Université de Stanford et vit actuellement à New York avec sa famille.
Au cours de sa carrière, elle a édité et publié des dizaines de livres et a été membre du conseil d'administration de la Harlem School of the Arts.
Davis s'intéresse à la cuisine depuis un certain temps et a même écrit son propre livre sur les chefs.
Le livre de Davis de 1999 If You Can Stand the Heat: Tales from Chefs and Restauranteurs présente des chefs bien connus tels qu'Anthony Bourdain et Michael McCarty.
Parlant de son nouveau rôle chez Bon Appetit, Dawn Davis a déclaré: «Je vois la nourriture à l'épicentre de tout ce que nous faisons. La nourriture est liée à la communauté et à la culture, à l'économie et à la famille.
«J'ai hâte de travailler à la fois avec la talentueuse équipe de Bon Appétit et avec des écrivains et des créateurs de goût pour créer une gamme de recettes et d'histoires intrigantes et inclusives sur les intersections entre la nourriture et la famille, la culture et le commerce pour notre public», a-t-elle poursuivi dans un déclaration
Plus récemment, Davis était vice-président et éditeur de 37 Ink qui fait partie de Simon & Schuster.
Condé Nast explique que 37 Ink a été lancé en 2013 et se concentre sur l'amplification des voix sous-représentées.
Les titres les plus vendus et primés de Davis pendant son temps en tant qu'éditeur comprennent Heads of the Coloured People de Nafissa Thompson-Spires
En outre, elle a également travaillé sur des best-sellers du New York Times tels que The Misadventures of Awkward Black Girl d'Issa Rae et I Can’t Make This Up de Kevin Hart.
Avant cela, Davis était chez HarperCollins pendant 12 ans. Elle a également été nommée rédactrice de l'année 2019 par Poets & Writers.
https://www.hitc.com/dawn-davis-bon-appetit/

mercredi 14 octobre 2020

On n'avait pas...de nouvelles

je lis une interview  du rageux-facheux B.M, on n'avait pas de nouvelles, il en donne....

Il fut le premier à promouvoir la dédiabolisation. Sa stratégie de respectabilité du Front national (devenu Rassemblement national) s'est fracassé un jour de décembre 1998 où Jean-Marie Le Pen, soucieux de garder la main sur son parti, a écarté le jeune ambitieux. Bruno Mégret a raté sa scission – que le père Le Pen appela un « pu-putsch » pour mieux se moquer – et il ne put jamais rivaliser avec le fondateur...

Le Point : Cet été, l'insécurité est revenue au cœur de l'actualité. Pourtant, on a l'impression que Marine Le Pen peine à concrétiser sur ses thèmes forts. Qu'est-ce qui cloche au Rassemblement national ?
Bruno Mégret : C'est vrai, le Rassemblement national ne parvient pas à exister sur la scène politique. Il y a à cela une raison fondamentale : ses représentants tiennent, de façon certes plus énergique, le même discours que la classe politique, alors qu'ils devraient porter une vision radicalement différente pour incarner l'alternative au système en place. Aujourd'hui, les Français n'ont plus la moindre confiance dans les politiques qu'ils savent impuissants à résoudre leurs problèmes et, de ce point de vue, Marine Le Pen n'est pas différente de ses concurrents, car elle ne porte aucun projet qui rendrait sa puissance au politique. Rendre du pouvoir au pouvoir, là est le nœud du succès.

La dédiabolisation du parti ne l'a-t-elle pas banalisée ?
J'ai toujours préconisé la dédiabolisation, mais pour moi elle consistait à en finir avec les provocations sulfureuses et les dérapages verbaux. Car, au-delà, il faut tenir le discours de la rupture avec le système. Sur l'immigration par exemple, ce n'est pas clairement le cas. Pourtant, comme nous l'avions annoncé, ce phénomène est aujourd'hui source de difficultés majeures que personne ne nie plus. Le RN devrait donc proposer une mesure simple et radicale : stopper toute nouvelle immigration pendant dix ans. Et ceci en faisant voter une loi d'exception qui suspende l'ensemble des dispositions permettant l'arrivée de migrants : regroupement familial, droit d'asile, etc. Ce serait une démarche non pas idéologique, mais pragmatique. Quand votre maison est inondée, vous commencez par bloquer l'arrivée d'eau avant de réparer les dégâts.

Vous oubliez que la France a signé des conventions internationales et qu'elle ne peut pas faire ce qu'elle veut…
C'est pour cela qu'il faut rendre du pouvoir au politique. Sur le plan international, on peut, dans un domaine comme l'immigration, y parvenir assez facilement. La France peut par exemple se libérer à tout moment de la tutelle de la Cour européenne des droits de l'homme. Non, le vrai problème, c'est le Conseil constitutionnel qui remet en cause la démocratie en censurant toutes les lois votées par le Parlement dès lors qu'elles ne sont pas politiquement correctes. Il faut donc créer un droit de recours sur les décisions du Conseil constitutionnel et laisser le dernier mot au peuple, soit par référendum, soit par un nouveau vote de l'Assemblée. Avec une telle réforme, la loi d'exception instaurant un moratoire sur l'immigration devient possible. Encore faut-il tenir le bon discours. Car opposer par exemple la laïcité à l'islam, comme le font tous les partis y compris le RN, revient au bout du compte à mettre sur le même plan le christianisme qui a façonné notre pays pendant quinze siècles et l'islam qui n'est présent sur notre sol que depuis quelques décennies. Les religions ont une composante culturelle qui en font un élément de l'identité des peuples et des nations. C'est donc au nom de notre droit à l'identité plus qu'aux principes de la République que le RN devrait s'opposer aux avancées de l'islam.

Revenons à Marine Le Pen. Comment expliquez-vous ce manque de tranchant que vous déplorez : confort de la deuxième place, peur de gouverner ?
En réalité, le RN est également touché par la dégradation du niveau général de la classe politique. Quand on part de De Gaulle et qu'on en arrive à Hollande… tout est dit. La réalité est que le pouvoir politique s'est soumis à la suprématie des juges et à la toute-puissance des médias. Aujourd'hui, de qui le politique a-t-il le plus peur ? Du juge d'abord, puis du journaliste, et enfin de l'électeur. Pour incarner une véritable alternative au système, le RN devrait donc attaquer ces deux institutions et militer pour qu'elles soient remises à leur place.

Vous dressez un constat sombre sur le RN, mais ce parti a des villes, dont Perpignan, des députés et semble certain d'accéder au second tour de la présidentielle dans dix-huit mois.
Marine Le Pen obtient ces résultats grâce au travail que nous avons effectué avant elle. Car, quoi qu'elle dise, son parti conserve l'image très forte que nous avions construite. Elle est donc comme une sorte de rentière qui bénéficie par ailleurs de l'impéritie des autres partis politiques. Aux pays des aveugles, les borgnes sont rois.

Vous rejoignez donc Emmanuel Macron lorsqu'il vante la souveraineté européenne…
Avec Macron, on entend tout et le contraire de tout. J'adhère au principe de la souveraineté européenne, mais pour cela il faudrait sortir de l'Otan, créer une alliance militaire européenne, introduire des écluses douanières aux frontières de l'Europe pour réindustrialiser le continent, empêcher les migrants de pénétrer sur le sol européen et affirmer que l'islam n'est pas compatible avec notre identité commune. Il faudrait enfin promouvoir avec fierté notre civilisation. Il ne me semble pas que ce soit le projet porté par le président de la République.

Il s'attaque pourtant à des problématiques qui vous intéressent. N'est-ce pas le cas avec la loi sur le séparatisme ?
Cette loi est d'abord le signe patent de l'échec de la politique migratoire menée depuis un demi-siècle. À l'origine, elle devait conduire à l'assimilation des étrangers. Puis on s'est contenté de leur intégration, ensuite il n'a plus été question que de vivre ensemble. Et maintenant, on en vient à essayer de les empêcher de se séparer. Cette loi sert en réalité à encadrer une nouvelle et dramatique reculade. À ce titre, elle ne fonctionnera pas davantage que les précédentes lois sur l'islam et l'immigration. Il est plus que temps de mettre un terme à l'arrivée de nouveaux immigrés.

Donald Trump, Jair Bolsonaro, Matteo Salvini… Les dirigeants hors système, ce n'est pas une franche réussite…
Être hors système ne sert à rien si l'on ne s'en prend pas aux pouvoirs du système. Les gens que vous citez se sont attaqués au système verbalement, mais n'ont mené aucune action concrète pour le circonvenir. Il faut, pour réussir, rétablir la suprématie du politique, notamment sur la justice et les médias. Si Marine Le Pen accédait à l'Élysée et qu'elle ne touchait pas au Conseil constitutionnel, elle resterait impuissante et devrait se contenter d'écrire des tweets comme Donald Trump.

Qu'est-ce qui vous a manqué pour porter ces combats ?
Je n'ai pas réussi la scission avec Le Pen, notamment à cause de Philippe de Villiers. Quelques mois après le coup de force contre Jean-Marie Le Pen, les européennes devaient nous départager. Or, c'est à ce moment que Villiers s'est allié avec Pasqua pour présenter une liste de droite « décomplexée » qui m'a privé des voix nécessaires pour battre Le Pen. Si je l'avais devancé, j'aurais pu construire la force dont la France a besoin. Et c'est peut-être moi qui aurais débattu avec Emmanuel Macron au second tour de la dernière présidentielle…

lundi 5 octobre 2020

Octobre est...là


soirée alcoolisée  où des gens donnaient leur avis...avec un sérieux qui donnaient envie  de boire, plus ça pontifiaient, plus ça enfonçaient des portes ouvertes, plus je buvais....le lendemain, pas un, mais deux boutons de fièvre...un sur la lèvre supérieur côté droit...l'autre énorme sur la lèvre inférieur côté gauche...ça équilibre....
ouais ! on est tous sensé porter un masque...donc !




et pis y'a Marine Le Pen qui est un peu perdue, quand elle va pas chercher un paquet de cigarettes, un peu    de coc' ou un  peu d'alcool c'est un  peu difficile pour elle  de   faire de la politique d'avoir un cap
va falloir couper tout ça au montage après tout j'assume faudra qu'elle porte plainte et à ce moment là je donnerais mes sources
Marine Le Pen consomme de la cocaïne selon Michel Onfray

Le Secours populaire a enregistré une explosion des demandes d'aide alimentaire pendant le confinement, où près d'un requérant sur deux était un nouveau venu, selon le dernier baromètre de l'association (PDF) publié mercredi 30 septembre.
 "Je ne mange qu'une fois par jour" : des "nouveaux pauvres" racontent comment la pandémie les a fait basculer dans la précarité
Pendant les deux mois du confinement, 1 270 000 personnes ont sollicité l'aide du Secours populaire dans ses permanences d'accueil. Parmi ces demandeurs, 45% étaient jusque-là inconnus de l'association, indique ce baromètre réalisé avec Ipsos. "Un chiffre absolument énorme", s'alarme Henriette Steinberg, secrétaire générale de l'association. "Mais j'ai bien peur que ce soit encore en train d'augmenter."
Selon cette étude, un Français sur trois a subi une perte de revenus en raison de la crise liée à la pandémie de coronavirus, et 16% la décrivent comme "importante". Par ailleurs, 57% des Français ne sont pas partis en vacances cet été, et 1 sur 4 pour des raisons financières. Parmi eux, 61% touchaient moins de 1 200 euros par mois, et 49% étaient ouvriers.
Le confinement a aussi accentué les inégalités scolaires, avec le "manque de matériel informatique (ordinateurs, imprimantes) et d'accès à internet pour suivre l'école à distance, des logements exigus ne permettant pas de s'isoler pour étudier dans le calme", souligne l'association, rappelant que 500 000 enfants auraient décroché scolairement. Les étudiants, nombreux à occuper de petits boulots pour financer leurs études, représentent une autre catégorie durement touchée par la crise et le chômage qui l'a accompagnée.
"Nous n'avons jamais vécu une situation pareille depuis la Seconde Guerre mondiale, et il y a urgence pour aider tous ces gens", affirme la responsable associative. "Beaucoup n'avaient jamais demandé d'aide à personne. Et là, non seulement ils n'ont plus de quoi se nourrir, mais ils ne peuvent plus payer leur loyer ni l'électricité". En 2019, le Secours populaire avait au total aidé près de 3,3 millions de personnes et s'attend à un chiffre "largement supérieur" pour 2020.
En France, la forte hausse du chômage déjà enregistrée en 2020 risque de continuer, avec 800 000 suppressions d'emplois attendues cette année selon la Banque de France, avant même l'annonce de nouvelles mesures de restrictions sanitaires le 23 septembre.