s'est rendue compte que les italiens n'étaient pas fous de ce genre de couleur, pour la fashionweek de Milan, pia! pia! pia!....
lundi 3 décembre 2012
cough! cough! humour : Des radiateurs africains pour la Norvège?
J'ai raté ce grand moment.... d'humour....
" Ce n'est pas encore Gangnam Style, mais une vidéo parodique qui exhorte les Africains à envoyer des radiateurs aux "pauvres" Norvégiens frigorifiés connaît un joli succès en fustigeant le misérabilisme généralement associé aux actions caritatives.
Des Africains souriants se mobilisent pour aider des Scandinaves emmitouflés et pris dans le blizzard, alors qu'une chorale chante façon Band Aid: "Africa for Norway", renversant avec humour les rôles stéréotypés d'ordinaire campés par un continent "maudit" et l'un des pays les plus riches au monde.
"La perception de l'Afrique est très lacunaire", explique à l'AFP Erik Schreiner Evans, président du Fonds d'aide internationale des étudiants et universitaires norvégiens (SAIH), à l'origine du projet.
"L'immense majorité des gens ont en tête ces catastrophes, ces famines et cette extrême pauvreté, et ignorent les évolutions positives sur ce continent. C'est toujours la même vieille rengaine: des enfants affamés, des femmes opprimées et des hommes fous en armes", déplore-t-il.
Fondée en 1961 en opposition à l'apartheid, l'organisation étudiante, qui promeut aujourd'hui l'éducation dans les pays du Sud, s'irrite des images "simplistes" véhiculées par les médias et les bons Samaritains eux-mêmes.
"Les médias veulent des sensations fortes, les journalistes travaillent contre la montre et les oeuvres caritatives veulent des dons. Tout cela contribue à une surenchère d'images choquantes et étouffe les chances de brosser un tableau plus nuancé, plus positif", estime M. Schreiner Evans.
Aussi bien dans son contenu que dans son titre, "Africa for Norway" parodie ouvertement le clip "We Are the World" du collectif "USA for Africa" dirigé par Michael Jackson et Lionel Ritchie en 1985.
"Les gens n'ignorent pas ceux qui meurent de faim, pourquoi devrions-nous ignorer ceux qui ont froid?", s'interroge le rappeur sud-africain Breezy V dans la vidéo. "Les engelures tuent aussi", dit-il.
S'il s'en inspire, SAIH regrette que les grandes mobilisations d'artistes contre la famine en Ethiopie dans les années 1980 aient, malgré leurs bonnes intentions, contribué à figer les perceptions d'un continent irrémédiablement voué à l'assistanat.
Dans son tube "Do They Know It's Christmas?", le groupe Band Aid dépeignait ainsi une Afrique où "rien ne pousse jamais" et où "aucune rivière ni pluie ne coule".
"Dans la plupart des vidéos que je vois à la télé, je me dis: +Mais ce n'est pas moi! Ce n'est pas où je vis! Ce n'est pas mon Afrique!+", a confié à la BBC l'étudiante Samke Mkhize, fausse collectrice de radiateurs dans la campagne baptisée Radi-Aid (un autre clin d'oeil).
"On occulte les problèmes structurels avec des textes simplistes et réducteurs" qui "perpétuent la conception d'un Sud pauvre, en situation d'échec, récipiendaire d'aide passif", renchérit M. Schreiner Evans.
S'il enjoint le public de continuer à faire des dons, le jeune homme de 32 ans estime qu'il faudrait s'attaquer aux fléaux plus larges que ceux présentés par les oeuvres caritatives et le reportage-type à la TV.
"On devrait davantage réfléchir à la politique commerciale de nos pays, à leur politique agricole, à nos propres choix de consommation qui sont à la base de ces problèmes structurels", affirme-t-il.
La vidéo, qui frappe par son réalisme, a en tout cas connu un grand retentissement: vue plus de 1,4 million de fois sur YouTube en moins de deux semaines, elle a fait le buzz sur les médias sociaux et généré un débat dans les milieux spécialisés dans l'aide au développement.
Et, parmi les innombrables réactions positives, SAIH a reçu le coup de téléphone d'une Norvégienne voulant savoir où elle pouvait envoyer son radiateur."
http://www.liberation.fr/depeches/2012/11/29/des-radiateurs-africains-pour-la-norvege
dimanche 2 décembre 2012
Afro-péruviens : c'est bien du malheur aussi
Quand ça veut pas, ça veut pas....
Les Afro-péruviens pris dans le cercle vicieux de la pauvreté et du racisme....
Les Afro-péruviens pris dans le cercle vicieux de la pauvreté et du racisme....
Ils montent la garde en livrée devant les hôtels de luxe, portent les cercueils aux enterrements huppés, des emplois subalternes qui leur sont presque exclusivement réservés: les Péruviens d'ascendance africaine stagnent au plus bas de l'échelle sociale.
Dans les quartiers chics de la capitale péruvienne, la couleur de leur peau est censée apporter un certain cachet aux riches familles qui les emploient comme chauffeurs ou personnel domestique.
Des restaurants chics assignent spécialement au service des desserts des femmes noires portant jupons et foulards de madras d'un autre temps.
"Certains de nos clients demandent spécifiquement des porteurs noirs, ce qui donne du prestige à un enterrement", indique à l'AFP Alejandro Cano, propriétaire d'une entreprise de pompes funèbres dans le quartier résidentiel de San Isidro.
Pour les autorités péruviennes, il s'agit là d'"une claire manifestation de discrimination raciale et d'atteinte aux droits de l'homme". Elles ont lancé il y a deux ans - sans succès - une campagne auprès des entreprises de pompes funèbres pour "chercher à éliminer de l'imaginaire collectif l'image stéréotypée du porteur de cercueil afro-péruvien".
Les entreprises de pompes funèbres affirment quant à elles ne faire que répondre à la demande de leur clientèle.
"Dans les enterrements les plus chers, les plus élégants, les familles nous disent +nous voulons, des "morenitos" (Noirs), tous bien pareils+. Ces clients appartiennent à des milieux très aisés qui ont des moyens financiers et veulent un service soigné", dit Alejandro Cano, qui assure que "ce n'est pas discriminatoire".
"Ces représentations sociales qui confinent les descendants d'Africains à certains emplois serviles remontent à l'esclavage et l'époque coloniale", rétorque Rocio Munoz, spécialiste d'études afro-péruviennes et chercheuse auprès du Ministère de la Culture.
Les morts sont toujours portés sur les épaules d'Afro-péruviens
"Bien que nous vivions dans une société démocratique, ces modèles n'ont pas changé. Les morts sont toujours portés sur les épaules des Noirs, comme c'était le cas à l'époque coloniale", dit-elle à l'AFP.
Les ancêtres des Afro-Péruviens sont arrivés au Pérou comme esclaves, broyés par milliers dans les mines et les plantations durant la colonisation espagnole.
Considérés comme partie prenante de la colonisation, leur cohabitation avec les communautés amérindiennes a toujours été difficile. Aujourd'hui, ils représentent entre 3 et 7% des 30 millions d'habitants du pays où 47 % des Péruviens sont indiens et 37 % mestizos (métis de Blancs et d'Indiens). Présents dans la musique, le sport - un tiers des footballeurs péruviens sont noirs - les Afro-Péruviens restent invisibles sur la scène politique, à la télévision, dans les milieux d'affaires, la diplomatie, la presse.
"Plus de 34% des Afro-Péruviens sont pauvres sans possibilité d'accès à une carrière leur permettant de rompre avec ce cycle de pauvreté qui les enferme dans des emplois déterminés", indique Rocio Munoz.
Au Pérou, 6% des Afro-Péruviens accèdent à l'université et seulement 2% d'entre eux terminent leurs études, dit-elle.
Le gouvernement péruvien va "développer des mesures en faveur des Afro-Péruviens", indique Owan Lay, fonctionnaire au ministère de la Culture, dont l'adoption de politiques publiques de discrimination positive et l'établissement de données inexistantes jusqu'ici sur la population descendant d'Africains dans le domaine de la santé, l'éducation et l'emploi.
En 2009, sous la houlette du président Alan Garcia, le Pérou est devenue la première nation d'Amérique Latine à demander pardon aux personnes dont les ancêtres sont venus d'Afrique pour les siècles "d'abus, d'exclusion et de discrimination". Le pays a reconnu officiellement que la discrimination raciale continuait de faire obstacle à leur ascension sociale et professionnelle.
Investi en 2011, le président Ollanta Humala a promis l'"intégration sociale pour tous" et nommé pour la première fois une ministre noire à la Culture, la chanteuse Susana Baca.
Tous n'en souffrent pas: Humberto Guerrero, smoking, noeud papillon et gants immaculés, l'uniforme du porteur, revendique pour sa part de "perpétuer une tradition qui plaît; le +moreno+ est élégant en costume noir, il présente bien; je ne me sens pas marginalisé, c'est mon travail et je le respecte".
Grèce: les clandestins, l'autre bombe d'Athènes
Avec la crise budgétaire et économique, c'est le dossier qui inquiète
l'Europe. Athènes est devenue la porte d'entrée sur le Vieux Continent
des migrants sans papiers, syriens et afghans en particulier. Et, là
aussi, l'Etat est débordé.
http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/grece-les-clandestins-l-autre-bombe-d-
Agressions violentes
http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/grece-les-clandestins-l-autre-bombe-d-
ou :
ATHÈNES, 15 octobre 2012 (IRIN) - Trois agents de police entourent deux
hommes basanés dans une rue passante d’Athènes, la capitale grecque où
l’agitation se fait croissante. Ce genre de scène n’est pas rare depuis
la campagne de répression lancée il y a deux mois par le gouvernement à
l’encontre des migrants sans papier.
Plus de 36 000 migrants ont été arrêtés dans le cadre de cette opération
policière ironiquement baptisée Zeus Xénios, du nom du dieu grec de
l’hospitalité. Neuf pour cent d’entre eux ont été placés en détention
parce qu’ils n’avaient pas de papiers. Ces arrestations contribuent à
une atmosphère de crainte et de désespoir dans les quartiers à forte
population migrante.
« Même si vous avez des papiers en règle, ils vous arrêtent », a dit
Kayu Ligopora, un Tanzanien qui vit en Grèce depuis trois ans. « Nous
nous sentons tous menacés depuis les élections et le pire c’est que
quand vous avez des problèmes, vous ne savez pas où aller. Si vous
appelez la police, ils vous demandent vos papiers. »
M. Ligopora est secrétaire de l’Association de la communauté
tanzanienne, dont les bureaux ont été attaqués et saccagés par une foule
d’hommes et de femmes armés de massues, la nuit précédant son interview
par IRIN. Des voisins ont aidé le groupe à briser les vitres renforcées
de l’association après l’intervention de la police, qui a éloigné les
meneurs, mais n’a procédé à aucune arrestation.
Parmi les vandales, nombreux sont ceux qui portaient des T-shirts noirs
portant le logo de l’Aube dorée, le parti politique d’extrême droite qui
a obtenu un nombre record de voix lors des élections de juin et occupe
désormais 18 sièges au Parlement hellénique. La popularité de l’Aube
dorée a grimpé à mesure que l’économie grecque s’est effondrée, crise
dont les chefs de file du parti rejettent la faute sur une croissance de
l’immigration illégale au cours des dernières années.
Tensions croissantes
L’idée que les migrants sont responsables de la hausse de la criminalité
et d’un taux de chômage de près de 25 pour cent s’est imposée,
notamment dans des quartiers du centre d’Athènes qui sont presque
devenus des ghettos pour les migrants pauvres. Selon Nikitas Kanakis,
directeur de la branche grecque de l’organisation non gouvernementale
(ONG) Médecins du Monde (MDM), les efforts de la police pour « nettoyer »
ces quartiers sont accueillis favorablement par une grande partie de la
population.
Le parti fasciste [Aube dorée] a mis cet objectif à l’ordre du jour et
tout le monde le suit, mais il n’y a pas de programme réel au-delà de
celui de “nettoyer les rues” », a-t-il dit à IRIN depuis les bureaux de
MDM dans le quartier d’Omonoia, où l’organisation offre gratuitement des
soins médicaux, des services sociaux et des conseils juridiques aux
migrants et aux Grecs en situation de pauvreté. « Ils essayent de les
chasser du centre [d’Athènes], d’occulter le problème. Mais le problème
est toujours là. »
À ce jour, environ 2 200 migrants sans papiers ont été expulsés ou ont
choisi de rentrer volontairement dans leur pays par le biais d’un
programme de l’Organisation internationale pour les migrations. En
raison du nombre de places limité dans les centres de rétention, les
autres sont généralement libérés au bout de quelques jours, voire
quelques semaines. Ils reçoivent alors un document qui leur donne sept
jours pour quitter le pays. Ce document est écrit en grec et de nombreux
migrants ne peuvent pas le lire, encore moins y obéir.
Les contrôles ayant été renforcés dans les principaux ports comme
Patras, où les migrants embarquaient clandestinement pour l’Italie,
seuls ceux qui ont les moyens de payer les passeurs ou d’acheter un faux
passeport européen ont une chance de quitter le pays. Les autres sont
pris dans le cycle des arrestations, des détentions et des remises en
liberté que M. Kanakis décrit comme « un gaspillage de ressources et de
vies ».
Hamid, un réfugié afghan de 16 ans, a quitté l’Iran il y a 15 mois,
lorsque sa famille a payé des passeurs 5 000 dollars pour le mener
jusqu’en Grèce. Il a essayé à deux reprises de se cacher dans des
camions qui quittaient Patras pour l’Italie. À chaque fois, la police
l’a attrapé et battu si violemment qu’il a dû être soigné à l’hôpital. «
Ils m’ont frappé comme s’ils voulaient me tuer », a-t-il dit à IRIN par
l’intermédiaire d’un interprète.
Hamid passe maintenant ses journées à faire le tour des soupes
populaires d’Athènes. La nuit, il dort dans le parc Pedíon Áreos, où il
est régulièrement réveillé par des agents de police. « S’ils trouvent
des migrants en train de dormir dans les buissons, ils nous battent »,
a-t-il dit. « Parfois, ils nous arrêtent, parfois ils déchirent juste
nos papiers. »
Agressions violentes
La popularité croissante de l’Aube dorée s’accompagne d’une hausse du
nombre d’agressions violentes contre les migrants, dont la majorité ne
sont ni signalées ni punies. Un réseau d’ONG coordonné par le Haut
Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) et la Commission
nationale pour les droits de l’homme, dont l’objectif est de surveiller
ce genre d’agressions, a enregistré 63 cas de violences racistes entre
octobre et décembre 2011 à Athènes et Patras. Dix-huit d’entre eux ont
été perpétrés par des agents de police. Ketty Kahayioylou, du HCR,
décrit ce chiffre comme étant « seulement la face visible de l’iceberg
».
« Les gens ne signalent pas toujours ces incidents, car ils ne pensent
pas que cela puisse les aider. L’objectif est de montrer des tendances :
quand, par qui, dans quels quartiers et comment », a-t-elle expliqué. «
En général, il s’agit de dix à quinze personnes attaquant un ou deux
migrants, souvent les plus faibles et les plus vulnérables, même des
femmes et des enfants. »
Amina Asadi, une migrante afghane, marchait avec trois autres femmes et
leurs enfants à Athènes lorsqu’elles ont été entourées par cinq hommes
et femmes armés de bâtons. « Nous avions des enfants avec nous alors
nous ne pouvions pas courir », a dit Mme Asadi, qui est bloquée en Grèce
avec son mari et ses trois enfants depuis que des passeurs se sont
sauvés avec toutes leurs économies il y a deux ans. « Alors nous avons
enlevé nos chaussures et fermé la poussette et avons menacé de les
frapper et ils se sont enfuis. »
Certains migrants essayent de porter plainte, mais on leur dit qu’ils
doivent payer une taxe de 100 euros. Dans un rapport sur les violences
xénophobes publié en juillet, Human Rights Watch a remarqué qu’il n’y
avait eu aucune condamnation au titre de la loi grecque de 2008 sur les
crimes haineux
La clinique de MDM à Athènes soigne quotidiennement des migrants blessés
dans des agressions racistes. M. Kanakis estime que l’organisation a
pris en charge 300 patients dans ce cas pendant les six premiers mois de
2011. « Ils ont très peur », a-t-il dit à IRIN. « Nous voyons de plus
en plus de personnes désespérées. Beaucoup travaillaient au noir, dans
des fermes ou des usines, mais même ce type d’emploi a disparu. »
M. Kanakis a ajouté que les problèmes de santés causés par les
conditions de vie souvent épouvantables des migrants, comme la
tuberculose, créaient « un problème de santé publique ».
Les 26 médecins de MDM, ainsi que tout le personnel infirmier et les
psychologues de l’organisation, sont des bénévoles. « Tout le monde
n’est pas contre les étrangers », a dit Martha Kouyia, infirmière à la
clinique MDM. « C’est une question politique.
Dans la série, je me marie avec qui je veux...
mais ça commence à se voir que...cough!cough!...la femme trophée...disons que la célébrité ouvre l'éventail du choix...cough! cough!
Eddy Murphy et son ex et accessoirement mère de ses 5 enfants, un ex mannequin...qui n'a pas de poitrine....et elle appartient à la race noire....
Germaine Jackson et madame...elle est arabe
et alors ? et alors rien...voilà, voilà...et pis il y a Denzel Washington....
Eddy Murphy et son ex et accessoirement mère de ses 5 enfants, un ex mannequin...qui n'a pas de poitrine....et elle appartient à la race noire....
Germaine Jackson et madame...elle est arabe
et alors ? et alors rien...voilà, voilà...et pis il y a Denzel Washington....
Ryan Howard, contrat de 125 millions de dollars sur 5 ans....elle, ancienne majorette....on ne juge pas, car il est beau comme Crésus
Ice T. and Coco
Juanita and Michael Jordan, 168 millions le divorce
Non! non et non
quel produit est-elle en train de défendre ?...les chaînes, un shampooing, photoshop ?...pourquoi le styliste, le photographe, le coiffeur s'emmerdent à prendre une femme noire ?....alors que nous connaissons la réalité...
4 étudiants lynchés au Nigeria
Ah le Nigeria ! j'aimerais lire quelque chose de positif sur ce pays, hum ! riche en pétrole...et où les musulmans ont des envies irrépressibles de tuer du chrétien dont le tort est d'être... chrétien, différent...d'exister...les gangs nigériens à Londres ont leur petite réputation de charcutier...
la semaine dernière, 4 étudiants se sont rendus dans un village où vivait quelqu'un à qui l'un d'eux avait consenti un prêt...d'argent....et alors ?...et alors les 4 amis ont reçu un accueil sanglant......en entrée des coups violents, vêtements arrachés, le petit plus au dessert ?... pneu autour du cou, avec de l'essence et on y met le feu....l'agonie est évidemment longue et...douloureuse...
les 4 amis, étudiants
Haïti, la Côte d'Ivoire, et l'Inde sont aussi amateurs de ce genre de civilités...les barons de la drogues au Brésil ne crachent pas aussi sur la pratique....
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petit souvenir ! du Libéria ! autre cas....les africains ne savent pas cacher leur "méfaits"....ils sont à poils, tout est jeté à la face du monde, il n'y a pas de filtre...au bout du bout on est content d'être antillais...
qu'est-ce que c'est que ça ? |
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