samedi 30 avril 2022

Qui ça ?

 l'autre jour en voiture, cherchant refuge sur Fip, sur Europ' fin d'une interview d'Emilie Andéole(connais pas) sur sa reconversion dans (?)....je note son nom pour une recherche ultérieur, c'est la voix d'une personne noire...
google me dit :

que effectivement....elle est née à Bordeaux, a des origines martiniquaises, donc ne peut pas être tout à fait mauvaise...elle a donc mon attention :

 “Je l’ai perçu comme ça parce que les sensations que l’on vit quand on est athlète, le dépassement de soi, cette petite touche d’adrénaline, il faut en faire un deuil”.
 “Les personnes qui n’arrivent pas à faire ce deuil-là courent toujours derrière”, précise-t-elle. “Ils vont trouver une nouvelle drogue dans de nouveaux sports, le jeu, la dépression ou l’alcool…”

 ”Ça a été compliqué parce que quand on tape aux portes, les gens ne nous écoutent pas, ou nous renvoient à telle personne, et telle personne nous renvoie à telle personne, etc.”
“Des fois, quand j’allais voir les gens, on me disait ‘oui, on peut t’accompagner sur le CV et la lettre de motivation’. Mais moi j’avais besoin de l’étape d’après. Comment me vendre, comment me mettre en réseau ? C’est là que j’ai manqué d’aide”. 
“Je m’étais toujours dit qu’une carrière d’athlète ne durait que 10-15 ans. Et c’est vrai qu’être championne olympique et au chômage, même moi je ne pensais pas que ça allait m’arriver, sincèrement”. 

La situation se débloque pour elle au début du mois de décembre 2019. Elle évoque sa détresse de championne olympique au chômage dans les colonnes du Parisien, puis reçoit un appel. Au bout du téléphone: Stéphane Nommis, fondateur de Ippon Technologies et président de la Fédération française de Judo.
On a discuté de ma situation et il m’a tendu la main. Il a cru en moi et en mes capacités parce qu’il savait que je voulais redonner. Je l’en remercie parce que je m’épanouis professionnellement aujourd’hui”. Émilie obtient le poste de directrice de la Fondation Ippon, émanation d’Ippon Technologies. Elle mène des actions pour réduire la fracture numérique dans les zones les plus démunies.
 « Je suis désolée… C'est chaud de dire ça, mais je suis en pleine galère. » A Tignes, au milieu des sportifs rassemblés dans le cadre des Etoiles du sport, la judokate qui décrocha l'or aux JO de Rio en 2016 se sent comme un poisson dans l'eau. Et pourtant. « Oui, je suis championne olympique et je suis au chômage, lâche-t-elle. Au début, c'était difficile… »

 « C'était difficile de l'avouer, de se dire que j'ai charbonné pendant douze années pour en arriver là. Je me suis battue, personne ne croyait en moi, j'étais la bonne personne à l'entraînement que personne ne regardait. J'ai gagné les Jeux, je me suis dit : Je vais en profiter. Et finalement, rien. » Elle s'interrompt. « Parfois, je regrette d'avoir été championne olympique, la chute aurait été moins dure. On idéalise trop un titre olympique. Je pensais tellement que ça changerait ma vie… » Mais aucun sponsor n'est arrivé, aucune proposition n'a été faite. « On me disait : Tu comprends, il y a Teddy Riner. Et alors ? Je suis une femme, j'ai mon histoire… »

 « Un bac, un DUT techniques de commercialisation, une licence management des organisations, des diplômes pour être professeure de judo, détaille-t-elle. J'ai toujours été consciente que le sport, ce ne serait que dix ans de ma vie, j'ai coché toutes les cases. Depuis, j'envoie des CV, des lettres, j'ai fait un bilan de compétences, j'ai peaufiné, j'ai repris des études… »

« L'année après les Jeux, j'ai perdu mes repères, mon corps a fini par dire stop. Je suis partie m'installer à Bordeaux et, depuis, c'est la galère. » La championne puise dans ses économies. « La Fédération de judo a prolongé ma bourse d'un an car j'ai mis en place une tournée, mais, en janvier, tout ça va s'arrêter », alerte-t-elle. Elle sourit : « Heureusement, je n'ai pas été dépensière. » Derrière le sourire, on sent une douleur profonde. « Ça me fait du bien de parler… Tout ça a eu des conséquences sur mon moral, parce que c'est dur. J'ai pris 10 kg, depuis je fais un gros travail sur moi-même pour extérioriser, je me suis mise à écrire… Mes parents s'inquiètent, je les rassure mais je ne m'attendais pas à ça. »

 « Douze ans de haut niveau, ça laisse des traces, et l'après… J'avais entendu parler de la petite mort d'après-carrière. Moi, j'ai perdu cette adrénaline. Le judo me permettait de faire sortir tout ce que j'enfouissais au fond de moi… Ce n'est pas simple quand on est une adolescente d'être pas très grande, ronde et noire, le sport m'a permis de prendre confiance en moi. J'aimerais que mon parcours aide des jeunes… » Elle cherche ce qui cloche : « Peut-être que j'aurais dû être davantage présente sur les réseaux sociaux, peut-être que j'aurais dû rester à Paris. Les gens idéalisent le truc, mais, non, je ne suis pas devenue la reine du pétrole à Rio ! Mais j'ai plein d'idées, plein d'envies. » 

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 Mais aucun sponsor n'est arrivé, aucune proposition n'a été faite.
quel produit espérait-elle représenter ?...quel sponsor espérait-elle attirer ?

jeudi 28 avril 2022

Qui ça ?

nous connaissions : Mae Jemison
voici Jessica Watkins

moment où elle m'a perdu  : "sa thèse porte sur les glissements de terrain sur Mars"

on nous dit que :

...un nouveau vol de l'entreprise d'Elon Musk a décollé mercredi, cette fois pour une mission de la Nasa à destination de la Station spatiale internationale (ISS).
La mission baptisée « Crew-4 » s'est envolée du centre spatial Kennedy, en Floride, à 3 h 52 heure locale, avec à son bord les Américains Kjell Lindgren, Bob Hines et Jessica Watkins, ainsi que l'Italienne Samantha Cristoforetti, de l'Agence spatiale européenne. Au sein de cet équipage, comme le précise le site américain TMZ, Jessica Watkins marquera particulièrement l'histoire : elle sera seulement la cinquième femme noire à aller dans l'espace, et la première à rejoindre la station spatiale pour une mission longue.

Trente-trois ans plus tôt, l’astronaute voyait le jour dans la petite ville pavillonnaire de Gaithersburg, en banlieue de Washington. Mais c’est à Lafayette, dans le Colorado, qu’elle grandit. Là, au milieu des paysages rocheux des Canyons qui dessinent l’horizon, la petite fille développe une passion pour la géologie et se met à rêver d’espace. Même la tête dans les nuages, Jessica Watkins suit un parcours scolaire sans fautes, qu’elle achève avec un diplôme de la prestigieuse Université Stanford et un doctorat de l’Université de Californie, où sa thèse porte sur les glissements de terrain sur Mars.

En 2012, la jeune femme commence à travailler avec la Nasa sur le projet «Mars Curiosity», une mission d’exploration de la planète Mars. Cinq ans plus tard, sur plus de 18 000 candidatures, elle est repérée par le mastodonte de l’aéronautique et intègre le «groupe d’astronautes 22» de la Nasa, avec 11 autres candidats. Pendant deux ans, elle suit alors un programme de préparation aux missions spatiales. Spéléologie, plongée, stages de survie à l’autre bout du monde… Une intense préparation physique à un futur voyage dans l’espace. Il ne lui manquait plus qu’un galon : le patch Nasa floqué de son nom et de celui de la mission qui la conduirait pour la première fois dans la Station spatiale internationale. C’est désormais chose faite.

Car réussir à intégrer le milieu très fermé de la spatiologie est un parcours du combattant pour n’importe quelle femme, elles qui représentent 10 % seulement des astronautes. Mais il l’est encore davantage en tant que femme noire. Si elle est la première à rejoindre l’ISS, elle est également la cinquième femme noire à aller dans l’espace, trente ans après Mae Jemison, en 1992. «Devenir astronaute de la Nasa, j’en rêvais depuis très longtemps, depuis que je suis toute petite même, mais je ne pensais pas y arriver un jour», a d’ailleurs affirmé en conférence de presse celle qui a commencé au sein de l’agence aéronautique en qualité de stagiaire. Avant d’ajouter : «Je pense que cette mission est vraiment un hommage de l’héritage des femmes astronautes noires qui m’ont précédée, ainsi qu’à l’avenir passionnant qui nous attend.»
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Avec cette mission dans l’ISS, Jessica Watkins le rappelle, elle entend montrer le chemin car il faut que «les jeunes filles de couleur puissent voir un exemple de la façon dont elles peuvent participer et réussir». La route est longue. En attendant, l’astronaute va devoir se concentrer sur son travail au sein du programme Artemis de la Nasa, qui vise à faire marcher à nouveau l’homme sur la Lune en 2025. Et peut-être que cela sera, cette fois-ci, une femme noire.

Qui ça ?

Charithra Chandran....elle fait actrice dans Bridgerton...j'avais parcouru deux épisodes de la saison 1 et...j'en ai rien fou...et ne suis pas le public visé et pas cliente des produits de la productrice mam' Rhimes Shonda...
dans l'interview elle cause de...colorism

google traduction :
Mais Chandran et Ashley jouant des rôles principaux n'est pas seulement une victoire pour la représentation sud-asiatique; c'est également une victoire pour les femmes sud-asiatiques à la peau plus foncée . Les deux actrices sont tamoules et reconnaissent l'importance de voir des gens comme elles à l'écran.

Pour moi, le colorisme est à certains égards plus douloureux parce que cela ressemble à une trahison de votre part", dit Chandran. "Si quelqu'un est raciste avec vous, vous avez votre communauté sur laquelle vous appuyer." Malheureusement, être une star mondiale ne vous exempte pas du racisme - en fait, la notoriété accrue peut en inviter davantage. Chandran a dû faire face à des racistes commentaires sur son Instagram , y compris des références désobligeantes au curry, qu'elle a republiées sur ses histoires, répondant qu'elle a déjà tout entendu et qu'elle souhaite que les fanatiques ne soient pas si ennuyeux.

Elle poursuit sur la question du colorisme : "Mais si quelqu'un vous attaque de l'intérieur de votre propre famille, ou essaie de vous opprimer, ou crée une hiérarchie au sein de votre propre famille, c'est à certains égards tellement plus difficile à gérer."
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"Personne ne m'a laissé oublier que j'avais la peau foncée en grandissant. Ma grand-mère avait la peau très claire. Chaque fois que nous nous promenions en Inde, ils disaient toujours: "Oh, tu serais jolie si tu avais la coloration de ta grand-mère." "Dommage pour la couleur de sa peau." "Elle est jolie pour avoir la peau foncée." Tous ces commentaires, tout le temps.

"Mes grands-parents - je ne leur en veux pas du tout, ils essayaient de me faciliter la vie - je n'aurais pas le droit de jouer dehors. Je devais jouer tôt le matin ou le soir [pour éviter le soleil]. »
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Elle n'a jamais utilisé la crème éclaircissante pour la peau Fair and Lovely (qui est omniprésente en Inde, et peut même être trouvée dans les épiceries indiennes aux États-Unis et au Royaume-Uni), mais a été exposée à des produits "naturels" similaires - "et ils le cachent toujours sous comme, 'ça te fait briller', 'éclaire' - c'est tous des synonymes de plus léger. Donc je n'ai jamais, jamais pu oublier que j'avais la peau plus foncée.

Cela devient d'autant plus émouvant que Chandran n'est pas seulement un nouveau membre de l'ensemble de la distribution de Bridgerton ; elle et Ashley sont les chefs de file. Le Bollywood le plus célèbre ont la peau très claire. Dans la famille de Chandran, comme beaucoup d'autres, on dit aux femmes à la peau foncée qu'il est plus difficile de trouver un mari dans les mariages arrangés. Mais dans l'émission numéro un au monde en ce moment, dans l'une des histoires les plus romantiques des temps modernes, ce sont les femmes à la peau plus foncée qui se font dire qu'elles méritent d'être aimées telles qu'elles sont, sans aucune condition. C'est le personnage de Chandran qui est couronné la femme la plus désirable de tout Londres – et cela n'entre même pas dans la subversion du colonialisme, étant donné l'héritage impérialiste que la Grande-Bretagne a en Inde.

"Quand le soleil brille et que je bronze, mon instinct est comme, 'oh putain, j'ai bronzé.' J'essaie de le désapprendre », dit-elle. « Ça va être une lutte de toute une vie. Ou comme quand je retouche une photo pour Instagram, bien sûr les tentations sont là, car pendant la majeure partie de ma vie, on m'a appris que c'est ce qui est beau. C'est vraiment, vraiment traumatisant. Je ne veux désespérément pas ça pour mes cousins. Je prie, prie, prie pour que ce ne soit pas comme ça pour eux.


lundi 25 avril 2022

Bon ben c'est une victoire

lendemain de réélection :
hold up 2....aucun mérite, c'est contre la droite extrême...vote contre plutôt que pour...
- pour le reconduit : 58,54% 
- pour la blonde leader de la droite extrême : 41,46% des voix

<<<conversation avec quelqu'un qui n'avait pas de connaissance du contenu de la notion de droite extrême...ça m'a tellement déprimé...que j'ai arrêté de consommer de la politique...je ne regarde pas la téloche, et la boîte à sons est muette, je n'ai même pas écouté le débat qui était vendu putassierement  comme le retour de la revanche...ai évité twitter, n'ai pas lu d'articles, et évité les personnes susceptibles de me jeter leurs opinions à la tronche....

<<<piqûre de (...)...dans le but de neutraliser  un organe....par une infirmière bavarde, très bavarde, trop bavarde, elle m'a épuisée, avec sa vie, son oeuvre, ses récompenses, son horrible voix, l'impression de m'être fait sucer le sang...en la quittant, je me suis réfugiée à la boulangerie, où je me suis procurée un pain aux raisins, un chausson aux pommes, un mille-feuille, puis à l'épicerie indienne, un bounty, un mars, un lion, un paquet de Freedent aux fraises...
mon radar anti vampire, n'a pas bien fonctionné....
une anémié qui se fait mordre par un vampire, ça donne rien de bon...
ah oui !  quand même :



comment sera traité cet humoriste ?
c'est trop bon
Mais c’est le jour du meeting de Villepinte, le 5 décembre, que l’étudiant en droit de 18 ans, inscrit à l’université de Caen, a vraiment pris la lumière pour la première fois. Ephémère délégué Génération Z du Calvados, toujours vêtu d’un costume-cravate, fan de Donald Trump, Vladimir Poutine et Jair Bolsonaro, Tanguy David « apprécie la main de fer » d’Eric Zemmour. Il a pourtant annoncé par communiqué, le 10 mars, qu’il quittait le mouvement Reconquête !, « après avoir été la cible d’injures racistes et de messages abjects en raison de [s]a couleur de peau par des soutiens » de l’organisation.
Sur les réseaux sociaux, il est très suivi, très actif et très virulent. En accord total avec les thèses d’extrême droite, il renvoie systématiquement ses opposants à leurs origines étrangères, les traitant de « sauvages », de « racailles », et les invitant à « retourner en Afrique ».
Depuis, il dénonce le manque de soutien, voire les insultes émanant des rangs de Reconquête !, dont certains membres ne veulent pas qu’« un Noir défende GZ et la jeunesse blanche », selon de nombreux messages postés sur les réseaux.
.......
Cette tension est l’aboutissement d’une guerre d’ego larvée qui s’est déclarée après le meeting de Villepinte et qui oppose le militant normand à Stanislas Rigault, le patron de Génération Z. Tanguy David est désormais en conflit avec plusieurs membres de Reconquête !, et notamment Damien Rieu, qui le traite de « fou ». Il assure être persona non grata au QG.
(c)lemonde.fr/m-le-mag/article/2022/03/16/qui-est-tanguy-david
qui ça ?
trois jours après le premier tour de la présidentielle, la Miss France 2012 avait apporté son soutien à la blonde leader de la droite extrême, dans l’émission Touche pas à mon poste  :
 "quand tu la regardes, quand tu l’écoutes, elle propose vraiment quelque chose. Elle a une forme de bienveillance, comme une maman des Français, attention, ce n’est pas son père. Toi tu n’es pas tes parents. Ton nom n’est pas pareil. C’est bien pour ça qu’elle a un peu coupé avec son père. Lui, c’était lui, elle, c’est quelque chose d’autre, elle n'est pas  l’extrême droite ce n’est pas le Front national, c’est le Rassemblement national. (...) Elle a bien changé, car tout le monde peut évoluer "

après un shitstorm : alors qu'il y a une vidéo :

"C’était un des pires week-ends de ma vie. J’ai eu des milliers d’insultes, des milliers de menaces.  Les médias ont fait leurs choux gras de tout ça. Ils ont découpé des choses et ont dit Delphine elle fait la promotion de Marine Le Pen. Mais en fait ce n’est pas ça. Moi je suis une citoyenne déçue. Si je faisais la promotion de Marine Le Pen, j’aurais fait sa promotion au premier tour ! "

dimanche 17 avril 2022

What the fuck !

lecture de la critique du Guardian de Fresh avec Seb Stan(le concernant, je ne vois pas la lumière) et Daisy Edgar-Jones(une fois que vous avez repéré que son nez est...est...là...ou....elle est allée trop loin dans la perte de poids...impossible de l'ignorer)...le pitch : une fille cherche un mec via les applications de rencontre, en rencontre un dans le rayon légumes de sa superette...il est charmant, plein de qualités qu'elle recherche chez un homme...elle le suit dans sa maison de campagne, il la drogue, elle se retrouve enchaînée...car monsieur est un cannibale qui vend de la chair humaine à de riches clients....
ça n'a aucune espèce de début d'intérêt ni dans le propos, ni dans la réalisation ni dans les acteurs....ça a effectivement sa place sur une plate-forme mais pas sur un grand écran...
oui et alors ?
encore un film où l'héroïne a une meilleure amie noire, dans ce cas bisexuelle et qui va s'atteler  à retrouver la disparue....
et alors ? 
et alors je m'en fous mais ça fait cahier des charges....case à cocher...
et donc dans l'article il y a une allusion au film Human Centpède dont je connaissais l'existence mais sur lequel je n'ai jamais voulu cliquer....
aouch : j'ai cliqué :
un chirurgien allemand capture 3  touristes et dans le labo de sa grande maison avec piscine intérieur, il leur coud la bouche à l'anus pour former un centipède....
spoiler alert : à la fin tout le monde meurt même les flics, sauf la fille du milieu....
et un centipède c'est ça :
THE HUMAN CENTIPEDE - Official Trailer

dans Centipède II le retour...le premier volet est en fait un film et un type gardien de parking au physique ingrat veut reproduire ce qu'il regarde en boucle....
c'est en noir et blanc, ça va loin dans le glauque...il créé un centipède avec 12 personnes, n'étant pas chirurgien, il utilise du scotch....nous recommandons la scène où il les bourre de laxatif et ce qui doit arriver arrive...ben euh ça gicle !
à la fin il se prend un centipède dans le fion
Centipède 3, j'ai regardé les 20ères minutes...agression visuelle : c'est très coloré, les ricains sont dans l'affaire, d'ailleurs ça se passe dans une prison ricaine, le nom d'Eric Robert au générique ne présage rien de bon et effectivement...il y a un centipède avec les prisonniers mais je n'ai pas de curiosité pour le comment....
il était plus que temps que ce réal' s'arrête et trouve un autre filon....

Tssssssion !

 
hein ?