dimanche 18 mars 2018

Quand ça veut pas, ça veut pas

Selon Buzzfeed, qui cite plusieurs témoins de la scène, le directeur adjoint du FNJ aurait traité un vigile de "sale Africain", "singe" et "espèce de nègre de merde".
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Le député Gilbert Collard se dit « malade » des propos racistes tenus par Davy Rodriguez : « On attend tous des sanctions fermes. Chenu doit prendre des dispositions tout de suite »
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Cédric, l'agent de sécurité en question, revient sur les faits et explique avoir coincé le doigt d'un jeune homme qui voulait entrer dans le bar au moment où lui en sortait. C'est à ce moment-là que Davy Rodriguez intervient. "Ce monsieur est venu alors qu'il n'y avait pas de problème, et a dit : 'Ne lui adresse pas la parole, ces gens-là n'ont pas d'éducation'", raconte-t-il au site d'informations. Cédric - qui assure n'avoir pas eu de geste violent et envisage de porter plainte - lui demande des explications et la scène s'envenime. Davy Rodriguez lui aurait alors dit : "Sale Africain, rentre chez toi en Afrique, singe, tu n'as rien à foutre ici!"
Quelques minutes plus tard, une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux montre plusieurs militants du Front national tentés de calmer Davy Rodriguez, visiblement alcoolisé. "Calme-toi Davy, tu n'as aucun intérêt à t'énerver." Pour tenter de le faire revenir à la raison, ses camarades lui demandent si "Sébastien" [Chenu] "aimerait [le] voir comme ça". "Tu crois que Marine aimerait te voir comme ça?", ajoutent-ils. Dans cette vidéo, on entend Davy Rodriguez dire "espèce de nègre de merde".
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"Davy Rodriguez conteste formellement ces propos. J’ai confiance en lui, donc je les conteste aussi", a réagi le député Sébastien Chenu, ancien membre de l'UMP, qui a rejoint le Rassemblement bleu Marine en 2014. "Je n'ai pas à le sanctionner", poursuit-il, auprès du JDD. "Qu’est-ce que c’est que ce traquenard à deux balles? […] Ce n’est pas lui qui tient ces propos ; c’est mon collaborateur, je connais sa voix", ajoute le porte-parole du FN devant les caméras.
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Hier, Davy #Rodriguez n’a contesté ni ses propos, ni la vidéo elle-même, auprès des médias qui l’ont sollicité pour une réaction
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De son côté, le directeur du FNJ Gaëtan Dussausaye indique au JDD qu'il y aura une réunion "à tête reposée" la semaine prochaine pour voir les suites à donner à l'affaire. "Il est évident que si les faits sont avérés, il y aura des sanctions", indique-t-il. Mais il précise toutefois : "On a l’habitude des montages vidéos, c’est très facile à faire. […] On connait les techniques de manipulations."
(c)JJD

la blonde leader de la droite extrême (qui a perdu son mojo et ne fait plus peur au journalistes) a été réélu présidente  du parti, lors du  congrès à Lille...le vote fait par coorespondance lui a conféré 100% des voix...faut dire qu'elle était la seule candidate....et pendant qu'ils y étaient, supression du titre de président d'honneur, détenu par le père fondateur....dont les mémoires se vendent très bien, me dit-on dans les infos, que ça en paraît suspect....à y regarder de près, ce sont les commandes chez amazon....
                                
en guest  star, celui qui crie partout qu'il est responsable de la victoire de Trump...ce dernier  l'a viré d'ailleurs...moi je croyais que Mam' Clinton avait gagné en nombres de voix...
"L'histoire est de notre côté." "Laissez-les vous qualifier de racistes, de xénophobes ou de nativistes. Chaque jour, on est plus fort et eux s'affaiblissent"
                     
sur la radio putassière et commerciale...qui n'oublie pas que la blonde leader est arrivée seconde aux  élections présidentielles et que ses électeurs sont bien quelque part et qu'ils sont nombreux...je suis tombée sur des rediff' de nuit...."c'est de la faute aux migrants, si la droite extrême fait de si bon score aux élections en Europe"..."la droite devrait s'allier à la droite extrême"..."les migrants font du tort au immmigrés des banlieues", fier de lui, le journaliste( qui n'est pas de gôôôôôche ) a trouvé un algérien pour dire qu'ils devraient rester dans leur pays pour le développer...pourquoi se cacher derrière ce type...
aaah ! des nouvelles de noir brésilien...j'aime à rappeler que l'histoire des Noirs, n'est pas que l'histoire des Noirs ricains....je dis ça je ne dis rien....voilà que l'on m'apprend l'existence de Marielle Franco...pour me dire qu'elle a été assassiné....Marielle de quoi ???????
La conseillère municipale Marielle Franco a été tuée par balles dans la nuit de mercredi 14 mars, à Rio de Janeiro. Son assassinat a suscité une vaste émotion au Brésil, où des appels à des rassemblements ont été lancés dans plusieurs villes....
Issue d’une des favelas les plus violentes de Rio, elle dénonçait régulièrement les violences policières et la récente intervention de l’armée destinée à contenir la recrudescence de la violence dans la ville.
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La militante des causes noire et féministe de 38 ans du Parti socialisme et liberté (PSOL) se trouvait dans une voiture et revenait d’un rassemblement pour la promotion des femmes noires. Le chauffeur du véhicule a lui aussi été abattu, et son assistante, qui se trouvait dans la voiture, a survécu. Selon les premiers éléments de l’enquête, les tirs, une dizaine, seraient venus d'un autre véhicule selon des témoignages cités par le quotidien Folha de S. Paulo.
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Très active dans la lutte pour les droits de l’Homme, Marielle Franco avait été la cinquième conseillère municipale la plus votée lors des municipales de 2016 et était l’alliée de Marcelo Freixo (PSOL), arrivé deuxième du scrutin pour le contrôle la ville de Rio de Janeiro......
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Issue d’une communauté pauvre et noire
Née et élevée au Complexe de la Maré, l’une des favelas les plus violentes de la ville, Marielle Franco dénonçait régulièrement les violences policières et la récente intervention de l’armée dans la « ville merveilleuse ». Les jeunes noirs issus des quartiers populaires – dont elle faisait partie – en sont les premières victimes.
Quelques jours avant sa mort, elle avait dénoncé la police, qui est « est en train de terroriser et violenter les habitants [des quartiers] ». « Cette semaine, deux jeunes ont été tués et jetés dans une fosse. Aujourd’hui encore, la police est allée dans les rues en menaçant les habitants. Cela s’est toujours passé et avec l’intervention, ça s’est empiré », avait-elle écrit le 11 mars.
Deux semaines auparavant, Marielle Franco avait été nommée à une commission législative chargée d'accompagner l'action de l'armée dans son intervention à Rio. Cela serait directement lié à sa mise à mort, selon Cecilia Coimbra, présidente du mouvement «Torture, plus jamais» :
Des appels se sont multipliés dans les réseaux sociaux pour organiser des manifestations devant à plusieurs endroits de Rio, ainsi que dans d’autres villes du Brésil. « Marche contre le génocide noir ! Nous sommes Marielle Franco », déclarait l’un de ces appels, qui avait recueilli 20 000 participants en quelques heures
http://www.rfi.fr/ameriques/20180315-bresil-marielle-franco-assassinee-violence-police-rio-favelas
 
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Dans une ville en plein chaos, minée par la corruption, ruinée et tourmentée par la guerre des gangs, Marielle Franco était une critique virulente de l’action des forces de l’ordre. Dénonçant les dérives policières, elle s’attaquait notamment à l’action des Unités de police pacificatrice (UPP), mises en place à partir de 2008 pour apaiser – en vain – les favelas de Rio.
Effrontée, considérée comme une enquiquineuse par certains bataillons de policiers militaires, qu’elle qualifiait de « bataillons de la mort », elle fut aussi prompte à fustiger l’intervention militaire fédérale décrétée en février pour prendre en charge la sécurité de l’Etat de Rio.
Le motif du crime reste obscur. Mais une partie des Brésiliens y voit une vengeance de la part des policiers. Appuyant cette thèse, la télévision locale de Rio, RJTV, révélait vendredi que les douilles retrouvées près des victimes proviendraient de lots de cartouches vendues à la police fédérale de Brasilia en 2006.
C’était une femme, noire, lesbienne, de la favela, de gauche et du PSOL
Avec plus de 60 000 homicides par an, dont une infime proportion est élucidée, le Brésil offre, avec cet assassinat, l’image d’une nation où les forces de l’ordre ont perdu tout crédit. Conscient de l’émoi, le président, Michel Temer, a promis, jeudi, que les auteurs de ce crime « d’une extrême lâcheté » seraient punis au plus vite.
http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2018/03/16/l-assassinat-a-rio-d-une-militante
 
Deux faits divers qui en disent long sur la nature humaine....pour certains sites et commentaires sous les articles, ce sont les noirs, les migrants les responsables....
Au cœur de la cité de la Grande Borne, à Grigny (Essonne), une octogénaire a été séquestrée. En sa présence, des dealers vont et viennent dans son logement qu'ils utilisent pour stocker leurs marchandises. Le calvaire de cette femme atteinte de la maladie d'Alzheimer dure six longs mois jusqu'à ce que des pompiers ne la découvrent par hasard en cherchant d'où venait un dégât des eaux.
Dans l'appartement, les policiers découvrent dix kilos de cannabis, 22 000 euros en petites coupures et deux armes à feu. La vieille femme n'avait aucune conscience de ce qui se passait chez elle. En dépit de son état de santé, elle ne bénéficiait d'aucune prise en charge sociale spécialisée. Aujourd'hui, l'octogénaire a été placée dans une maison de retraite de la commune de Grigny où les services sociaux la prennent en charge.
https://www.francetvinfo.fr/societe/drogue/
 
Un homme handicapé se déplaçant avec une béquille, et qui aurait été agressé par quatre hommes en début de semaine dernière, est décédé, ce dimanche 11 mars, à l’hôpital des Feugrais à Elbeuf, près de Rouen.
Le lundi 5 mars, entre 17 h 30 et 20 h, cet Elbeuvien, âgé de 61 ans, un sac de courses entre les mains, est pris à partie par quatre individus à proximité du magasin Carrefour Market, situé rue du Neubourg à Elbeuf. Les trois agresseurs lui auraient demandé une cigarette qu’il aurait refusée. « L’un d’eux lui a alors assené un coup au visage, le faisant chuter au sol, précise une source judiciaire. Il lui a ensuite donné des coups de pied dans le dos. »
Les quatre auteurs présumés ont pris la fuite. La victime est rentrée chez elle, mais n’a pas déposé plainte. Son état s’est dégradé vendredi dernier et elle a été hospitalisée aux Feugrais. Les services de police ont été avisés le lendemain. La brigade criminelle a été saisie. Une autopsie doit être pratiquée cette semaine pour déterminer les causes précises de la mort.
Les enquêteurs lancent un appel à témoins. Si vous êtes susceptible d’avoir des informations concernant cette agression, vous pouvez contacter la brigade criminelle à Rouen au 02 32 81 42 55 ou au 02 32 81 42 70. L’un des auteurs recherchés est de type africain. Au moment des faits, la victime portait un pantalon gris foncé, une veste noire, et avait entre les mains un sac de courses.
 http://www.paris-normandie.fr/breves/normandie/victime-d-une-agression-un-homme-handicape
 
 
La nuit des noirs a bien eu lieu...
Après plusieurs mois de polémique, la Nuit des Noirs, bal traditionnel du Carnaval de Dunkerque, s'est finalement tenue samedi soir au Kursaal. Comme prévu, des militants d'associations antiracistes étaient néanmoins présents à l'entrée de la salle pour manifester contre l'événement, qu'il jugent racistes
"La ville de Dunkerque a été une ville négrière, il y a eu plus de 60 bateaux négriers qui sont partis d'ici et non seulement on n'évoque pas la mémoire de ces ancêtres, de ces esclaves dans cette ville, mais on tourne en dérision les Africains avec des images de propagande coloniale", a commenté Louis-Georges Tin, président du Conseil Représentatif des Associations Noires de France.
Après avoir lu quelques textes d'Aimé Césaire, la vingtaine de manifestants ont tenté de se faire entendre des Carnavaleux malgré une forte présence policière. "Ici, les Noirs, les Arabes, les Blancs, tout le monde se mélange. On fait tous le carnaval parce que c'est une tradition, c'est notre culture", a plaidé un des participants.
Finalement, la présence des militants n'a pas perturbé la tenue du bal et aucun incident n'est à déplorer.

https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/dunkerque/nuit-noirs-dunkerque-manifestation-associations-antiracistes-marge-du-bal-1438351.html

pour Mayotte....zéro énergie...j'ai essayé de lire sur cette histoire de coupeurs de  route....mais euh le cœur n'y est pas...comme la Guyane, blah,blah....
 
les chats y passent aussi...bouilli, grillé....
le président téfal, outrancier, tout glisse, rien n'attache et la chance est avec lui....j'entends et lis ça et là des interprétations de son œuvre par des gens de droite...on a l'impression que quelque chose dans la traduction se perd au milieu de l'océan avant d'arriver jusqu'ici....
quoiqu'il en soit, il pense déjà à sa réélection en 2020...à 74 ans....après Make America great again , voilà : Keep America great .....
une fake news sorti par qui on sait et repris très sérieusement par les média, disait qu'Oprah W. voulait candidater...le président avait sautillé de bonheur en disant qu'il serait à coup sûr le vainqueur......
<<<petit joueur va...non face à lui, il faut un homme et un blanc....
 

mardi 13 mars 2018

8 mars - "Aux Antilles, les femmes sont particulièrement exposées à la violence"

connasse, les femmes sont exposées  à la violence partout....cough! cough!....je dis ça je dis rien...
En France, l'an dernier, 123 femmes sont mortes sous les coups de leur compagnon ou ex-conjoint.

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l’anthropologue Stéphanie Mulot, du Laboratoire caribéen de sciences sociales de l’Université des Antilles pôle Guadeloupe, évoque la situation des femmes aux Antilles à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes

Quel regard portez-vous sur la situation des femmes aux Antilles - en Guadeloupe et en Martinique - actuellement ?
Aux Antilles, la situation des femmes évolue dans des directions différentes. D’une part, ce sont des sociétés où les femmes sont particulièrement exposées à la violence, dans le cadre familial et conjugal - inceste, viols, violences physiques et morales - et il existe des variations selon les milieux sociaux. La question du rapport au corps des femmes, du respect de leur dignité et de leur intégrité est loin d'être réglée. Elle révèle souvent des rapports de genre défavorables aux femmes. Ainsi,  en Martinique, l’enquête "Genre et violences interpersonnelles", dirigée par Nadine Lefaucheur au CNRS, a montré que les femmes sont victimes de violence le plus souvent quand elles s’opposent à la domination des hommes et à la liberté que ceux-ci revendiquent de pouvoir avoir d’autres relations simultanées. Ainsi, la violence dans le cadre conjugal apparaît particulièrement quand les femmes demandent des comptes à un conjoint souvent absent, quand elles sont enceintes - et que la grossesse peut être vécue comme une pression pour l’homme visant à lui faire assumer des responsabilités envers cette partenaire, ou lorsqu’elles décident de rompre, et que la rupture peut être vécue par le conjoint comme une remise en question de sa propre virilité et du fait que la femme lui appartienne et lui obéisse. Il y a donc encore une représentation des rapports entre les sexes fondée sur le fait que les femmes doivent se soumettre aux règles des hommes dans le cadre conjugal. Ceci n’est pas incompatible avec le fait que les femmes peuvent apparaître comme faisant preuve d’autorité dans la vie de famille, envers les enfants, et que les pères peuvent paraître avoir une autorité secondaire.
D’autre part, les femmes des Antilles sont aussi plus touchées par le chômage, le travail à temps partiel, la précarité et les inégalités de salaire. Elles sont surreprésentées dans certains secteurs, comme le monde du social et médico-social, de l’enseignement, des services, ce qui maintient le lien avec une image de la féminité consacrée à soigner, éduquer, accompagner qui les met à distance des métiers de l’entreprenariat, de l’ingénierie, notamment. En Martinique, toutefois, les femmes sont plus entreprenantes et elles sont maintenant majoritaires à 52% parmi les cadres.

Sur le plan historique on a beaucoup parlé de la femme "poto mitan" des sociétés créoles aux Antilles. Mythe ou réalité ?
Le poto mitan (poteau central) serait la version créole de la mère courage, dévouée, sacrifiée pour ses enfants et tenant toute la maisonnée sur ses épaules, en l’absence du ou des pères de ses enfants. Elle occupe beaucoup l’imaginaire des rapports sociaux aux Antilles et dans l’espace caraïbe francophone. Il y a à la fois du mythe et de la réalité. Si l’on regarde les particularités des familles antillaises, il est vrai qu’il a toujours existé une proportion importante d’entre elles dont les pères semblaient être plutôt absents et dont les enfants étaient élevés par leurs mères, grands-mères, tantes, parfois sous le même toit, en lignée maternelle. Ceci est plus fréquent dans les milieux défavorisés. Cela provient de nombreux facteurs et se traduit par le fait que les hommes pouvaient avoir des relations simultanées avec différentes femmes, et donc des enfants de lits différents, sans forcément vivre avec eux, et qu’ils peuvent ou pouvaient rester habiter chez leur propre mère durablement. Les mères se retrouvaient donc à assumer seules l’éducation des enfants et à faire face aux difficultés sociales et économiques liées à cette situation. Par extension, et même dans d’autres milieux, le poto mitan symbolise cette figure de mère solide et combative qui lutte pour l’éducation de ses enfants. Et cette injonction faite aux femmes de "tenir" est aussi un arrangement pour des hommes qui se délestent ainsi de leurs obligations paternelles et conjugales.
Du côté du mythe, le poto mitan est donc cette image de mère glorieuse qui aurait des qualités extraordinaires de résistance et d’abnégation. Ce mythe de la mère esseulée mais idéale est à déconstruire et dépasser, car il reproduit l’image d’hommes forcément irresponsables et coupables, et de femmes condamnées à la douleur d’une vie sacrifiée où seuls les enfants seraient sources de plaisir. En outre, il est aussi un modèle étouffant de la maternité et de la féminité sacrificielles, qui empêche les femmes d’advenir dans une existence plus épanouie, ou des relations plus égalitaires avec les hommes, les enfants et les autres femmes. Il est remis en question, aujourd’hui, par les plus jeunes et par les associations de soutien aux femmes qui veulent s’émanciper des carcans d’autrefois. Il est critiqué aussi par les hommes qui veulent imposer leur place de père dans les familles contemporaines.
https://la1ere.francetvinfo.fr/8-mars-aux-antilles-femmes-sont-particulierement-exposees-violence-stephanie-mulot-anthropologue-guadeloupe-567029.html

samedi 10 mars 2018

Modeux

quelqu'un a fait une école de stylisme
mais qu'est-ce qu'elle fait ?
...err....elle sourit....