3ème confinement, il semblerait que le président ait bien fait de ne pas suivre le blah blah contradictoire des professeurs de médecine dont les médias nous saoulent...
moment de ma vie où je découvre, que je ne digère pas la carotte crue...râpée, puis en bâtonnet très très longuement mâché...ben heu glourp !....2 jours de jeûne pour m'en remettre...
dans la queue d'un magasin alimentaire où je ne vais jamais...il pleut...il y a une jauge, avec fermeture automatique de la porte...devant moi deux femmes arabes fichu sur la tête causent, devant elles, un type avec des boucles d'oreilles, le gaydar me dit : gay viril et en colère...et effectivement, quand surgit une femme noire, avec une carte qu'elle tend au jeune vigile noir, il se met à hurler que c'est injuste, que la carte est fausse, qu'on peut les avoir pour pas cher à Barbès, y'en a marre des fraudeurs...la femme fait donc partie du lot suivant quand la porte s'ouvre...quelques minutes passe, un homme noir, longe la file et tend une carte au vigile, l'homme aux boucles d'oreilles se remet à hurler que la carte vient de Barbès pour pas cher, que la France va mal qu'on y fait ce qu'on veut qu'il devrait y avoir plus de contrôle aux frontières et même les fermer, j'entends une voix masculine renchérir, qu'il faudrait nettoyer le pays renvoyer ces gens chez eux ces gens qui ne travaillent pas et qui profitent de l'aide social...l'une des femmes arabes est d'accord avec l'homme aux boucles d'oreilles et dit à son amie que son mari est un vrai français...sur ce j'éclate de rire, parce que what the fuck with Barbès ...une fois dans les lieux, on est plutôt nombreux, je me rends compte que je n'ai besoin de rien, ne suis tenté par rien...personne dans les caisses automatiques, je repars avec du gingembre moulu et de la farine...
la Martinique a aussi son affaire dont tout le monde se foutrait si ce n'était mam' Pulvar....
Trois femmes de sa famille ont publié une lettre, le 6 février, dénonçant un "héros martiniquais, pédocriminel et violeur".
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"Ici, à Paris, ce n'est pas l'affaire Marc Pulvar, ce n'est pas la parole des victimes qu'on a entendue, c'est mon nom qui a été mis en exergue", a déclaré celle qui est désormais adjointe à la maire de Paris et candidate aux élections régionales en Ile-de-France
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Mort en 2008 à l'âge de 71 ans, Marc Pulvar était une personnalité en Martinique. Professeur de mathématiques à l'origine, il a marqué la vie politique de l'île......
En 1973, Marc Pulvar fonde le mouvement La Parole au peuple, qui deviendra, cinq ans plus tard, le Mouvement indépendantiste martiniquais (MIM). Il s'est ensuite engagé auprès des travailleurs en créant la Centrale syndicale des travailleurs martiniquais (CSTM) en 1974. Il était depuis considéré comme une grande figure du syndicalisme et un leader indépendantiste en Martinique.
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Marc Pulvar est accusé de pédocriminalité par trois de ses nièces. Il s'agit de Karine Mousseau, une femme politique de premier plan en Martinique (élue territoriale et présidente du comité martiniquais du tourisme) et de ses cousines Barbara Glissant (fille de l'écrivain Edouard Glissant) et Valérie Fallourd.
"A l'âge de 7 et 10 ans, nos routes ont croisé celle d'un homme", ont-elles écrit dans une tribune . "On l'encense aujourd'hui encore en Martinique, parce qu'il a été un militant, syndicaliste, défenseur des opprimés, ajoutent-elles. C'était l'oncle de la famille, le favori, adulé déjà, par tous." Les trois femmes expliquent vouloir "en finir avec cette héroïsation du personnage, ne plus jamais lui rendre un quelconque hommage à l'avenir et désormais penser à lui comme il le mérite".
"Les vacances d'été du tout début des années 1980 ont été pour nous le théâtre de ses exactions, racontent-elles, particulièrement le camping sauvage sur l'une des plus belles plages de la Martinique, où il avait la gentillesse de nous emmener, avec la reconnaissance attendrie de nos proches."
"Marc Pulvar, le héros, savait parler, écrivent Karine Mousseau, Barbara Glissant et Valérie Fallourd. Mais quand Marc Pulvar parlait aux petites filles, il s'y prenait autrement. Et cette histoire là, il faut la connaitre. Il leur parlait doucement oui, comme si de rien n'était, pendant qu'il mettait ses mains dans leur culotte, les masturbait", relatent-elles. "Il avait l'art de nous isoler (...) Combien de bains de mer seules avec lui, il aimait nous porter et nous caresser sous l'eau, à quelques mètres d'adultes aveuglés."
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Audrey tête de liste en Ile-de-France aux élections régionales prévues en juin, a expliqué avoir "été mise au courant des crimes commis" par son père "il y a une vingtaine d'années" par ses cousines. Elle assure les soutenir "pleinement" et salue "le courage" dont elles font preuve. "Cela a été un choc très profond pour mes proches et moi. Tant qu'elles ne souhaitaient pas s'exprimer publiquement, ce n'était pas à nous, à moi, de nous substituer à leur parole de victimes"
"Les faits se sont produits il y a quarante-cinq ans, mais quand j'étais enfant, au moment des faits, je sais qu'il s'est passé des choses confusément. Ma cousine m'avait dit : 'Ton père met sa main dans ma culotte'", a-t-elle déclaré sur France Inter lundi. Mais "il ne m'est pas venu à l'idée de le dénoncer", a-t-elle poursuivi. "Ça n'était pas à moi de le faire", a expliqué l'actuelle adjointe à la maire de Paris, qui a tenu à assurer : "Je suis toujours du côté des victimes."
"Je suis là comme fille d'un pédocriminel. Quand vous êtes la fille d'un monstre, vous vous demandez si vous n'êtes pas un monstre vous-même", a-t-elle également confié.