dans les infos radio du 12 août, on me dit que Grigny, souffre d'une pénurie de médecins....un Dr Khaled en a trouvé un... noir, qui veut bien s'y installer dit : " au lieu d'aller faire de l'humanitaire en Afrique y'a qu'à franchir le périphérique ".
=qu'est-ce que ???
je passe devant l'écran allumé et il y a, Un dîner presque parfait, une chanteuse, Sloane, au visage difficile, dit :
si je gagne les 1000 euros, je les enverrai en Afrique pour aider les pauvres et les écoles et pour fabriquer des puits"
=elle ne va pas creuser, mais fabriquer, 1000 euros pour tout un continent....54 pays devront se partager 1000 euros....
j'ai appuyé sur tous les boutons de la box, 562 chaînes.....je cherchais les chaînes asiatiques et portugaises....je les ai trouvé, mais je n'ai pas tenu 5 mn....
sur France 24, un reportage sur les migrants, un asiatique fait visiter un camp quelque part dans Paris, il est face caméra et il chiale....
il y a cette fille noire qui présente les infos debout sur la 3, elle est toujours là, elle est bien en chair, mais pas de patience pour estimer sa compétence....
sous une douleur intense, je regarde une émission sur Claude François, attendant que quelqu'un parle de son choix des clodettes noires( y'a plus de noires sautillant derrière lui que dans tous les clips de rap réunis), mais rien....aouch ! il les aimait très jeunes et très blondes, il a lancé un magazine limite porno, a failli avoir la brigade des mœurs sur le dos, stoppé de justesse par le président Giscard....son visage était difficile, il aurait très mal vieilli, son surmoi était petit...
dans les images d'archives montrant la foule le jour de sa mort, on voit une femme noire, avec un afro, et un policier noir en képi qui essaye de contenir la foule....et alors ? et alors rien....on était déjà là...
j'ai tenu devant un reportage sur un type noir, africain, affuté, prof de fitness, son cours avait lieu, dehors dans une ville du sud, une belle tête à se faire arrêter pour vérifier qu'il n'est pas un migrant..il avait un vague accent....ses élèves avaient peu de chance d'avoir son physique même au bout de 100 ans de séances....les passants le dévisageait....
sur France 0, j'ai regardé jusqu'au bout un reportage sur Mayotte et les kwassa-kwassa....une des îles on suit la construction des embarcations, on nous dit que toute l'économie de l'île est tournée vers ça...la caméra ne s'aventure guère à l'intérieur des terres, elle reste sur les côtes avec des enfants en haillons, et des hommes qui veulent aller Mayotte à tout prix : la France....à Mayotte, un type, blanc de Mayotte Hebdo dit que c'est une invasion, c'est comme si 22 millions de personnes débarquaient en France...et partout des bidonvilles, pas d'eau, pas d'électricité....
<<<<<<j'avais vu passer cet article :
Pour éviter les redoutables traversées de la Libye et de la Méditerranée, les migrants originaires d'Afrique sont de plus en plus nombreux à rejoindre les côtes du 101e département français.
Il s’appelait Dany et n’avait que 23 ans. Originaire de la république démocratique du Congo, il s’est pendu après avoir appris que sa demande d’asile avait été refusée à Mayotte. À la suite de ce drame, de nombreux ressortissants africains ont manifesté mardi, à Mamoudzou, pour exprimer leur tristesse et dénoncer leurs conditions de vie dans cet archipel de l’Océan indien, devenu le 101e département français en 2011. «On attend pendant des mois d’avoir une réponse de la préfecture pour pouvoir faire les papiers. On les relance sans cesse mais il n’y a pas de réponse. En attendant, on est tous des morts-vivants ici», raconte à Mayotte la 1ère l’un des manifestants.
Mayotte est devenue ces dernières années un nouveau point d’entrée vers l’Europe. Comme Dany, les migrants originaires d’Afrique sont de plus en plus nombreux à renoncer à la redoutable traversée de la Libye et de la Méditerranée. Selon les chiffres de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra), le nombre des demandes de protection a plus que doublé entre 2016 (387 demandes) et 2018 (809). Parmi celles-ci, près de 60 % proviennent de personnes originaires de la région des Grands Lacs (RDC, Rwanda et Burundi). Un chiffre en «constante évolution depuis 2014, en particulier avec l’augmentation des filières clandestines d’êtres humains», constate Romain Reille, directeur général de Solidarité Mayotte, une association qui accompagne des demandeurs d’asile de 32 nationalités. Au total, la moitié des demandes de protection ont été refusées par l’administration française
Arrivés à Mayotte avec l’espoir d’y trouver une vie meilleure, les migrants africains sont vite déçus. Devenue colonie française en 1843, l’archipel est aujourd’hui le département le plus pauvre de France, où le taux de chômage avoisine les 26 %, selon un récent rapport de l’Insee. La population mahoraise vit dans des conditions précaires : quatre foyers sur dix logent dans des habitations faites de tôles ou de végétaux et près d’un tiers des habitants ne disposent pas d’eau courante.
Pourtant, chaque année, des milliers de clandestins rallient ses côtes après avoir transité par les Comores. Ils entament alors une traversée de 70 kilomètres dans un bras de mer dangereux sur des kwassa-kwassa, de frêles embarcations de fortune, au péril de leur vie. Ces traversées ont causé «entre 7 000 et 10 000 morts depuis 1995», selon un rapport sénatorial de 2012. Désormais, près d’un habitant sur deux est de nationalité étrangère à Mayotte, la plupart d’origine comorienne.
Si le trajet est plus court que vers la métropole, les personnes qui réussissent la traversée se retrouvent à vivre dans des bidonvilles, «dans des conditions de précarité absolue», expliquait en 2018 Pascal Brice, l’ancien directeur général de l’Ofpra. Tiraillée par les problèmes d’immigration, l’île connaît des épisodes de violences récurrents entre la population locale et les nouveaux arrivants. En janvier 2015, la mairie de Mamoudzou avait même refusé d’inhumer les corps de naufragés comoriens retrouvés sur le littoral mahorais, sous pression de la population.
Pour restreindre l’immigration, les députés français ont entériné une loi en juillet 2018 pour limiter le droit du sol à Mayotte. Un régime exceptionnel par rapport aux autres départements français qui exige, pour un enfant né sur l’île, que l’un de ses parents ait, au jour de sa naissance, été présent de manière régulière sur le territoire national depuis plus de trois mois. Une mesure controversée qualifiée «d’antirépublicaine» par ses détracteurs qui craignent qu’elle puisse mener à un droit de la nationalité à la carte.