Omar Sy et d'autres ont réussi à soulever de l'argent pour les Rohingyas persécutés de Birmanie, ils sont musulmans...le pouvoir les persécutent, ils sont arrivés en masse au Bangladesh, pays pas connu pour sa prospérité..."on" a reproché à Sy, de ne pas en faire autant pour les esclaves en Libye...on t'as dit que dès que le libyen voit un noir, il pense capture vente, rançon....si Sy se pointe là-bas...acteur ou pas...c'est un "grand nègre costaud"...il vont lui réserver un sort....
le type est acteur,,,, en quoi est-il responsable de ce qui se passe à St-Martin, où il y a des gens assurés...le voilà responsable de la misère du Mali....m'étonnes pas qu'il se soit exilé aux States...tous les tapeurs du monde devaientt cogner à sa porte.....
Maintenant que la Libye est aux mains de milices qui se battent pour le contrôle des gisements pétroliers et les trafics en tous genre dont le plus odieux, celui de la mise en esclavage de migrants africains, voici que l’Europe et l’Occident d’une seule voix pointent du doigt un état, voire même un pays qui…n’existe plus. Parce qu’ils l’ont militairement détruit ! Tant de cynisme prêterait à sourire s’il n’était pas indécent.
Il n’est nullement question ici de tenter de dédouaner les esclavagistes libyens ni de nier le racisme anti-Noirs qui sévit dans les pays arabes. Il est simplement question de faire remarquer qu’organiser des manifestations devant les ambassades d’un état fantôme ou inexistant n’a guère de sens. D’autant moins que de sens que la Libye a été transformée en une gigantesque prison à ciel ouvert pour les milliers de migrants africains qui tentent d’arriver en Europe. Ceux qui, par miracle, parviennent à traverser la Méditerranée sont rapatriés en Libye où ils sont parqués dans des camps financés par les pays européens ! Quasiment tous les jours, il y a ce genre de rapatriements.
http://www.montraykreyol.org/article/esclavage-en-libye-lindecente-indignation-des-occidentaux
semaine où j'apprends au hasard d'un zapping radio l'existence d'Edgar Yves...dans ses oeuvres ça donne :
"je ne sors qu'avec des femmes blanches et si tu as le malheur de te promener dans la rue, il y a toujours une femme noire pour te jeter un regard, tel un ninja elle surgit et te dit : traître, ouais mais si tout se passe bien dans quelque temps j'aurais des papiers ah!ah!ah!ah!"
je google...il s'appelle Edgar Yves Monnou...et...je n'ai ouvert aucune page pour savoir qui il est, qui l'a encouragé, qui lui a dit qu'il était drôle....parce que, en fait je m'en fous...et pis quand Google met en avant un article favorable du Fig'...c'est qu'il doit donner des gages....à qui vous savez...un ennemi de la cause...oui la CAUSE......
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à propos d'humoriste...pas drôle...nous avons Michel Leeb, qui a été rattrapé par la patrouille...ComicCopy nous prouve ce qu'on savait déjà....
#CopyComic - Michel Leeb Part A
#CopyComic - Michel Leeb Part B
aouch !
Macron
pour les commentaires en dessous de la vidéo :
.....mais elle a une réalité ce sont eux que les dirigeants africains utilisent habilement pour défendre leurs intérêts, eux qui arrosent les partis politique français pour les influencer, eux qui réclament l'armée française pour se protéger des coups d'états et des révolutions, eux qui mettent en France dans leur hôtels particuliers somptueux le fruit de leur prédation, eux qui refusent de reprendre leur nationaux qui restent en France illégalement , eux qui utilise la France comme exutoire d'une démographie exubérante qu'ils refusent de juguler par des mesures autoritaires....: err waouh !
Éric Zemmour : "La Françafrique, toujours supprimée, mais toujours de retour"
Invité sur l’antenne de RFI, Moussa Faki :
«La responsabilité est d’abord celle des Etats africains. Nous-mêmes. J’en appelle à notre prise de conscience de la gravité de cette situation. Dans nos pays, il faut faire en sorte que ces jeunes ne quittent pas le pays… Que les gens ne se ruent pas en Libye pour chercher à traverser la méditerranée. Il faut s’attaquer aux racines, par le développement, par des projets concrets» en faveur de la jeunesse.
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Pour l’ancien ministre sénégalais chargé des Affaires religieuses, Mamadou Bamba Ndiaye, le comportement des dirigeants africains est pire que celui des gens qui vendent les migrants africains.
«Imaginez-vous que Donald Trump puisse dormir s’il apprenait qu’un citoyen américain était détenu quelque part, il ne l’accepterait pas. Le président Français Emmanuel Macron non plus. Alors pourquoi les gouvernements africains ne se soucient pas de leurs citoyens? Je me demande même à quoi ils servent ces prétendus présidents
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le blogueur Abdou Rahmane
«Les tweets de condamnation lamentables et honteux que certains d’entre eux ont publié sur les réseaux sociaux en guise de réaction en disent long sur leur impuissance pour défendre les intérêts de leurs nations et protéger leurs ressortissants», constate-t-il. Il leur demande ce qu’ils attendent pour proposer une opération militaire destinée à mettre un terme à cet inadmissible crime contre l’humanité en Libye.
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L’écrivain franco-congolais Alain Mabanckou
L’écrivain franco-congolais Alain Mabanckou
«S’il y a un point de départ dans l’éradication de ces comportements primitifs, c’est sans doute le mode de fonctionnement de nos Etats à la tête desquels les dictateurs prennent leurs populations pour de la marchandise… La question immédiate est désormais de se demander jusqu’à quand l’Occident continuera à nourrir ces autocrates africains et leurs complices qui feignent de s’indigner ces derniers temps»
Les États-Unis ont offert le statut de protection temporaire, ou TPS, aux Haïtiens après le séisme de janvier 2010 qui a fait 300 000 morts et dévasté le pays.....le statut était renouvelé et pis Trump a décidé que...non...
Google traduction
L'administration Trump met fin à un programme de permis de résidence temporaire qui a permis à près de 60 000 citoyens d'Haïti de vivre et de travailler aux États-Unis depuis le puissant tremblement de terre de 2010 qui a secoué la nation des Caraïbes.
Le département de la sécurité intérieure a déclaré que les conditions en Haïti se sont considérablement améliorées, de sorte que la prestation sera prolongée une dernière fois jusqu'en juillet 2019 pour donner aux Haïtiens le temps de se préparer à rentrer chez eux.
Les avocats et les membres du Congrès des deux parties avaient demandé à l'administration Trump une prolongation de 18 mois du programme, connue sous le nom de statut de protection temporaire. Le gouvernement du président haïtien Jovenel Moise a également demandé la prolongation.Alors qu'Haïti a fait des progrès grâce à l'aide internationale depuis le séisme, la nation des Caraïbes reste l'une des plus pauvres du monde. Plus de 2,5 millions de personnes, soit environ un quart de la population, vivent avec moins de 1,23 dollar par jour, ce que les autorités considèrent comme extrême pauvreté.
Le mois dernier, les Nations Unies ont mis fin à une mission de maintien de la paix en Haïti qui, à son apogée, comprenait plus de 10 000 soldats. Sa nouvelle mission comprend environ 1 300 policiers civils internationaux et 350 civils qui aideront le pays à tenter de réformer un système judiciaire profondément troublé.
Le département de la Sécurité intérieure a fait cette annonce 60 jours avant l'expiration du statut temporaire des Haïtiens. En mai, l'agence a prolongé le programme de seulement six mois au lieu des 18 habituels, et a exhorté les Haïtiens dans le cadre du programme à mettre leurs affaires en ordre et à se préparer à rentrer chez eux.Le département de la Sécurité intérieure a fait cette annonce 60 jours avant l'expiration du statut temporaire des Haïtiens. En mai, l'agence a prolongé le programme de seulement six mois au lieu des 18 habituels, et a exhorté les Haïtiens dans le cadre du programme à mettre leurs affaires en ordre et à se préparer à rentrer chez eux.
Le statut temporaire couvre environ 435 000 personnes provenant de neuf pays ravagés par des catastrophes naturelles ou la guerre, qui sont venus aux États-Unis légalement ou autrement. Quelques jours après le tremblement de terre d'une magnitude de 7,0 qui a dévasté Haïti en janvier 2010, le président Barack Obama a accordé le statut de protection de 18 mois aux Haïtiens d'Amérique qui, autrement, devraient rentrer chez eux. Obama l'a renouvelé chaque fois qu'il s'est épuisé.
La décision de lundi n'affecte pas les milliers d'Haïtiens qui ont été accueillis par le Brésil et d'autres pays d'Amérique du Sud après le tremblement de terre et ont commencé à se rendre aux États-Unis l'année dernière.Selon la US Customs and Border Protection, 6 424 Haïtiens se sont présentés aux frontières avec le Mexique au cours de la période de 12 mois se terminant le 30 septembre, contre seulement 334 l'année précédente. Ils étaient généralement en liberté conditionnelle pour vivre aux États-Unis pour des raisons humanitaires.
Depuis son entrée en fonction, Trump a mis fin aux programmes de permis temporaires pour le Soudan et le Nicaragua. Il a reporté à juillet prochain une décision sur la manière de traiter un programme similaire pour 86 000 résidents du Honduras.
Les responsables américains ont déclaré que les conditions en Haïti s'étaient considérablement améliorées depuis la catastrophe. Mais les défenseurs des Haïtiens affirment qu'une épidémie de choléra persistante et les dommages causés par trois ouragans depuis 2016 exacerbent la difficulté pour les Haïtiens de retour.http://www.independent.co.uk/news/world/americas/us-politics/trump-haiti-leave-us-immigrants-deportation-protection-ended-deadline-a8066446.html
Le département de la sécurité intérieure a déclaré que les conditions en Haïti se sont considérablement améliorées, de sorte que la prestation sera prolongée une dernière fois jusqu'en juillet 2019 pour donner aux Haïtiens le temps de se préparer à rentrer chez eux.
Les avocats et les membres du Congrès des deux parties avaient demandé à l'administration Trump une prolongation de 18 mois du programme, connue sous le nom de statut de protection temporaire. Le gouvernement du président haïtien Jovenel Moise a également demandé la prolongation.Alors qu'Haïti a fait des progrès grâce à l'aide internationale depuis le séisme, la nation des Caraïbes reste l'une des plus pauvres du monde. Plus de 2,5 millions de personnes, soit environ un quart de la population, vivent avec moins de 1,23 dollar par jour, ce que les autorités considèrent comme extrême pauvreté.
Le mois dernier, les Nations Unies ont mis fin à une mission de maintien de la paix en Haïti qui, à son apogée, comprenait plus de 10 000 soldats. Sa nouvelle mission comprend environ 1 300 policiers civils internationaux et 350 civils qui aideront le pays à tenter de réformer un système judiciaire profondément troublé.
Le département de la Sécurité intérieure a fait cette annonce 60 jours avant l'expiration du statut temporaire des Haïtiens. En mai, l'agence a prolongé le programme de seulement six mois au lieu des 18 habituels, et a exhorté les Haïtiens dans le cadre du programme à mettre leurs affaires en ordre et à se préparer à rentrer chez eux.Le département de la Sécurité intérieure a fait cette annonce 60 jours avant l'expiration du statut temporaire des Haïtiens. En mai, l'agence a prolongé le programme de seulement six mois au lieu des 18 habituels, et a exhorté les Haïtiens dans le cadre du programme à mettre leurs affaires en ordre et à se préparer à rentrer chez eux.
Le statut temporaire couvre environ 435 000 personnes provenant de neuf pays ravagés par des catastrophes naturelles ou la guerre, qui sont venus aux États-Unis légalement ou autrement. Quelques jours après le tremblement de terre d'une magnitude de 7,0 qui a dévasté Haïti en janvier 2010, le président Barack Obama a accordé le statut de protection de 18 mois aux Haïtiens d'Amérique qui, autrement, devraient rentrer chez eux. Obama l'a renouvelé chaque fois qu'il s'est épuisé.
La décision de lundi n'affecte pas les milliers d'Haïtiens qui ont été accueillis par le Brésil et d'autres pays d'Amérique du Sud après le tremblement de terre et ont commencé à se rendre aux États-Unis l'année dernière.Selon la US Customs and Border Protection, 6 424 Haïtiens se sont présentés aux frontières avec le Mexique au cours de la période de 12 mois se terminant le 30 septembre, contre seulement 334 l'année précédente. Ils étaient généralement en liberté conditionnelle pour vivre aux États-Unis pour des raisons humanitaires.
Depuis son entrée en fonction, Trump a mis fin aux programmes de permis temporaires pour le Soudan et le Nicaragua. Il a reporté à juillet prochain une décision sur la manière de traiter un programme similaire pour 86 000 résidents du Honduras.
Les responsables américains ont déclaré que les conditions en Haïti s'étaient considérablement améliorées depuis la catastrophe. Mais les défenseurs des Haïtiens affirment qu'une épidémie de choléra persistante et les dommages causés par trois ouragans depuis 2016 exacerbent la difficulté pour les Haïtiens de retour.http://www.independent.co.uk/news/world/americas/us-politics/trump-haiti-leave-us-immigrants-deportation-protection-ended-deadline-a8066446.html
encore un bouquin sur les Noirs et les clichetons commis par Bilé et Mathieu Méranville, un africain un antillais.....
j'apprends l'existence du bouquin parce que Méranville est allé faire la promo sur Radio C....waouh !le patron de la radio souffre d'une forme de négrophobie aigu et dès qu'il peut la partager....
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