encore un petit coup de polish ?....des jeunes...noirs...ont fait sa fête à un jeune, mineur aussi...trop efféminé à leur goût...
Montgeron: une enquête ouverte après le lynchage d'un adolescent pour "son orientation sexuelle"
ben en fait :
«Ils m'ont d'abord insulté de pédé et de gay, puis j'ai pris le bras de ma meilleure amie et on a avancé»
Ils m'ont d'abord attrapé par derrière, a relaté le jeune homme. Ils m'ont jeté, ils m'ont frappé, du coup ma meilleure amie s'est interposée et m'a relevé, on a avancé et alors là, c'était le drame. Ils étaient venus des deux côtés du bâtiment, ils m'ont alors pris et cogné la tête contre le grillage, ils m'ont jeté par terre, ils m'ont frappé, m'ont mis des coups de poing, des shoots dans la tête, c'était vraiment horrible. Et tout ça gratuit, franchement c'était gratuit, et voilà, d'autant plus que je suis pas gay
Yanis a précisé qu'il ne connaissait pas ses agresseurs et que tout a démarré par ces insultes gratuites. «Ils me filmaient, et ça rigolait. Je me suis dit que j'allais mourir, très clairement. Je pouvais rien faire, j'étais par terre, je criais, y'a une maman que je ne connaissais pas qui est venue me sauver, et que je remercie beaucoup.»
Après l'agression, les individus lui ont intimé l'ordre de «bien marcher, de ne pas marcher comme un pédé». Yanis s'est enfui, est rentré chez sa mère et n'en a parlé à personne par peur des représailles et par honte, malgré les douleurs dont il souffrait. C'est le commissariat qui a prévenu sa mère. C'est par le biais d'une vidéo fortement relayée sur les réseaux sociaux, signalée dimanche à Pharos, plate-forme permettant aux internautes de signaler des contenus en ligne qui leur semblent illicites, que le jeune homme a été retrouvé.
"on" avait dit qu'après les régionales, les sondages c'était fini ou avec des pincettes...le point G des médias qui a un livre à vendre et ne s'est pas déclaré candidat...a droit à des sondages...favorables, abondement commentés...c'est à qui sortira le sien depuis les bonnes audiences du face à face avec Méluche...
elle le trouble et le pianiste regarde dans leur direction : ah! ah! ah!
Birkin, Gainsbourg et Sardou "Si ça peut te consoler" (live officiel) | Archive INA
Confiant a commis un bouquin que j'ai vaguement envie de lire...son bouquin sur la martiniquaise Anne Sinclair, ne m'avait convaincue de rien....
"Pour la postérité, le nom de Jeanne Duval reste lié à celui de Charles Baudelaire. Apprentie comédienne ou fille de joie, muse ou diablesse, qui était vraiment celle qui traversa la brève existence du poète, enchanta sa plume et le plongea dans les tourments de l’amour et de la passion ? Qui était Jeanne Duval, venue des îles d’Amérique ou de l’océan Indien, ou peut-être du pays des Maures, et qui fit découvrir à Baudelaire un monde insoupçonné de sensualité et d’exotisme ? Un monde encore plus singulier que celui offert par le chanvre indien et l’opium dont l’auteur des Fleurs du mal faisait une consommation déraisonnable…
C’est cette passion torride, délétère et sublime que nous raconte Raphaël Confiant dans un roman foisonnant émaillé de vers célèbres. Des pavés parisiens de l’île Saint-Louis jusqu’aux îles Mascareignes, en passant par Saint-Domingue devenue Haïti, et la Belgique, sa plume alerte nous entraîne sur les traces du poète français, auprès duquel évoluent tous les grands artistes de ce XIXe siècle flamboyant, Nadar, Dumas, Lamartine, Flaubert, Manet, Delacroix, Nerval, Gautier, et bien d’autres…"
MercuredeFrance
Outre-mer la 1ère : On prête plusieurs origines à Jeanne Duval. En fonction des circonstances ou de l’interlocuteur, elle est disait venir soit des Antilles, soit de l’océan Indien. Cette question est importante ?
Raphaël Confiant : Nous sommes arrivés à une époque où l’on commence à comprendre que l’identité est multiple. Cette phrase banale, l’identité multiple, nous l’avions écrite il y a quarante ans dans l’éloge de la créolité (ndlr, avec Jean Bernabé et Patrick Chamoiseau) en disant que personne n’est enfermé dans une seule identité. Tout à fait par hasard, j’ai redécouvert cette femme et je me suis rendu compte qu’elle naviguait entre plusieurs identités. Elle l’a fait avec une telle habileté qu’elle a réussi à s’imposer à la fois dans un milieu masculin. Rappelons que le milieu des intellectuels du XIXe, Lamartine, Nadar, Monet, qui se rencontre dans les cafés, est un milieu exclusivement masculin. En outre, l’esclavage n’est toujours pas aboli. Par ailleurs, elle réussit à s’imposer en tant que noire dans un milieu d’hommes blancs. C’est une trajectoire extraordinaire.
Qu’est-ce qui vous fascine chez Jeanne Duval ?
C’est sa force et sa puissance. C’est quelqu’un qui en impose : elle mesurait 1,80m, possédait une chevelure de métisse extraordinaire et avait un caractère bien trempé. C’est quelqu’un qui a l’habitude d’affronter les hommes. Dans les périodes difficiles, elle vit de ses charmes. Quand elle rompt avec Baudelaire, elle y est obligée. Elle a une mémoire phénoménale. Baudelaire n’aimait pas écrire. Il émettait ses vers à haute voix et elle jouait le rôle de scribe. Souvent, il lui disait : tel jour, j’ai fait quelques vers de tête, tu les as notés ? Et elle les lui tendait. Mais des fois, ils étaient fâchés et elle les jetait. C’était rocambolesque. Mais c’est surtout la fascination exotique qui a joué. On est en pleine découverte de l’Afrique. C’est un monde qui va fasciner les peintres. Et ce qui est intéressant c’est que cela ne sombre pas dans la facilité exotique. Il y a une forte présence de l’image de la femme tropicale, de ses sens. Mais la puissance d’écriture de Baudelaire fait que jamais ce n’est caricatural, jamais au premier degré de l’exotisme.
moi : euh ! non.....quelqu'un m'a mis dans la tête que la femme du photographe Nadar était martiniquaise et google ne dit rien de cela.....mais on a :
Maria l'Antillaise tenant un éventail
Maria l'Antillaise assise, la poitrine dénudée
tentée par....un épisode de la vie du serial fucker ultime...
la relation méconnue entre Mitterrand et une très jeune femme, Claire, de cinquante ans sa cadette. Une histoire passionnée qui dura huit ans, jusqu'à la mort du président.
Pour son dernier déjeuner dans le salon Starck, il n’a pas convié des amis de toujours, des collaborateurs ou des proches conseillers, mais une jeune femme, de cinquante ans sa cadette, qui s’avère être sa maîtresse depuis des années. Elle s’appelle Claire, a 29 ans, et fréquente le vieux président depuis 1988.
Avant d’être la maîtresse de Mitterrand, Claire en était la première fan. Élevée dans une famille bourgeoise de Limoges, elle se jette à corps perdu dans l’engagement socialiste, une fois arrivée à Paris. Dès 1984, elle suit le président dans ses déplacements comme une groupie, pour lui adresser parfois un mot ou seulement un sourire. Celui-ci finit par la remarquer. Quatre ans plus tard, une histoire entre eux se noue. Elle a 22 ans, lui en a 68. Claire ne parlera quasiment jamais de cette relation à son entourage.
Parfois, Mitterrand vient la rejoindre dans son petit appartement de la rue du Four. Le plus souvent, c’est elle qui se faufile à l’Élysée : les gendarmes à l’entrée la connaissent et la laissent passer, sans poser de question. « Il l’appelle tous les jours, au moins deux fois. Le matin et le soir. (…) Rue du Four, le téléphone se trouve au pied du lit. Et le répondeur à cassette dans l’entrée. Elle attend que la sonnerie résonne plusieurs fois avant de répondre, ne veut pas se précipiter », écrit Solenn de Royer, qui a pu écouter quelques-unes des bandes de ce répondeur, précieux témoin de cette folle passion.