dans ma boîte mail une lectrice m'indique une anecdote raconté par...Princess Erika...dans Les Grosses têtes du mercredi 16 avril...je suis allée sur le site de la radio et effectivement....je cite :
"ça
m'est arrivé aux Antilles avec deux copines...on était en voiture...les Antillais
conduisent comme des….je n'ai rien contre eux, je les aime beaucoup....mais ils
conduisent vraiment très vite et très mal....on était sur cette route et le
gars nous passe dessus, enfin nous passe devant....et enfin bref ma copine elle
me dit de lancer des petits mangos que l'on venait de ramasser elle dit lancez
lui....elle était au volant, elle commence à les lancer et le gars enfin ils
étaient deux, on était 3, il se met à notre hauteur et sort un flingue, ils
étaient très très chaud les gars. ..on a du s'arrêter, négocier. ...on à eux
très très peur.. ..
Chevalier : ouais on sait ce que négocier veut dire avec toi il paraît que
t'aime les gros calibres...."
ah !ah !ah! ah !ah !.....éclat de rire du public
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nous avions déjà parlé de cette personne ici :
http://femme-noire-et-negritude.blogspot.fr/2013/03/euh.htmlje lis un article sur "ma grosse chanteuse préféré"....et j'apprends l'existence de Karol Conka, une rappeuse brésilienne....rap et Brésil...le mélange ne m'intéresse pas...
Her musical influences go some way to explaining her music too: "When I was a child I wanted to be white, because I thought it would be cooler and easier. Brazil is really racist place - and it's hidden, but discovering Lauryn Hill and Erykah Badu helped me to feel stronger as a black woman and an artist." The simple act of infusing Afro-Brazilian flavours from Bahia is an act of rebellion, and her lyrics about self-acceptance in the same breath as having a good time make for a different kind of introspective, understated activism that has struck a chord with many, including the nation's LGBT community, breaking more yet more barriers for hip-hop
je traduis : "quand j'étais enfant je voulais être blanche, parce que je pensais que ce serait plus cool et plus facile. Le Brésil est vraiment un endroit raciste, et c'est caché mais découvrir Lauryn Hill et Erika Badu m'ont aidé à me sentir plus forte en tant que femme noire et artiste."
la tribu dont on reparle...en Ethiopie...elle a une conception différente de la beauté...deux dents en moins pour te planter un truc dans les lèvres...bon euh...err...well !...les mannequins somaliens et éthiopiens sont très demandés parce que physique ambigu...je n'ose imaginer les tensions entre ces physiques entre ces deux catégories de physique...même je ne veux pas savoir...