dimanche 24 octobre 2021

Une chanson

 mercerdi 19, entre 2 h et 6 heures du mat', un sérieux coup de vent nommé Aurore, s'est abattu sur la ville....
une fenêtre mal fermée, pas le courage de me lever...impossible de localiser un casque audio....
sur youtube, il y a Diane Dufresne qui vocalise :

Je marche en rasant les murs
Dans une ruelle obscure
Je sens des mains sur ma peau
Des ombres dans mon dos
Au secours! Je cours vers ma voiture
Parking, vingt-deuxième sous-sol
Un homme me suit dans l’ascenseur
J’ trouve qu’il a une tête de tueur
La musique est sans paroles
Je suis morte de peur
Pardon, je sens que j’ai mal au cœur
Ca sent le sang
Ca sent le pétrole
C’est la ville qui me viole
Qui me viole, qui me viole
Drugstore, un gramme de morphine
Viens, j’ai besoin de calmants
J’ai trop pris d’amphétamines!

Je monte à mon appartement
Au milieu de la nuit
Toujours le même homme qui me suit
J’ m’enferme à double tour
Pendant des jours
Loin d’ la foule qui m’affole
Loin d’ la ville qui me viole

Sex shops, cinémas pornos
Je suis dans une salle obscure
Où des messieurs d’âge mûr
Regardent un film sans paroles
Je sens des mains qui se glissent
Comme des pieuvres entre mes cuisses

Sex shops, cinémas pornos
Je suis dans un film d’horreur
On m’ crache à la figure
On m’ frappe à coups de ceinture
Souvenirs de fourrure
Dans une chambre de torture

Docteur, faites-moi une piqûre!

on aime le public qui ne sait pas comment réagir niveau applau....

mardi 19 octobre 2021

Un humoriste

 donne son avis, parce qu'on lui a demandé...et pis un peu de lumière sur une carrière qui ne va nul part...quelqu'un va être engagé par une chaine d'info....


....doit quand même rembourser l'emprunt à l'origine de l'achat de son appartement, où il habite avec sa femme Tiffany, avec laquelle il est marié depuis 2016. Et il a d'ailleurs ajouté une petite précision à propos de cette dernière.
"J'ai une femme adorable, mais - heureusement elle n'aime pas les bijoux - elle aime aller au restaurant et elle aime les vêtements". Et lorsque Jordan de Luxe lui a demandé si sa femme lui coûte cher, Philippe Chevallier a donc répondu "un petit peu". Avant d'ajouter "Mais quand on aime, c'est quoi la formule ? On ne compte pas". Après être revenu sur son ménage, c'est bien de sa retraite que l'humoriste a parlé pour dévoiler combien il touche par mois, et dans quelles conditions. N'étant pas intermittant du spectable, Philippe Chevallier a commencé par dire qu'il ne "touche rien", jusqu'à ce que Jordan de Luxe insiste : "vous n'avez pas de retraite, quelque chose ?"
"Ah bah si, maintenant j'ai une retraite que je touche depuis le 1er avril, c'est très récent. C'est une retraite moyenne" précise-t-il, avant que Jordan de Luxe, comme à son habitude, ne le pousse à cracher le morceau afin de savoir à combien exactement s'élève cette retraite que l'humoriste décrit comme moyenne. "Je touche dans les 2500, 3000 euros". 

"Vous avez deux choix à faire... Marine Le Pen ou Eric Zemmour. Vous le mettez chez qui le bulletin ? ", lui a d'abord demandé le journaliste. Ce à quoi le principal concerné a répondu : "Pour l'instant, je le mettrai chez Marine parce que je trouve qu'il y a une base populaire. Je ne dis pas ça par démagogie. Je trouve qu'il y a des gens qui souffrent", a-t-il expliqué. Par la suite, Philippe Chevallier a révélé avoir "mal pour mon pays et je dis que, pour aimer les autres, il faut s'aimer soi-même. Ma femme est sénégalaise, je n'ai pas de leçons à recevoir là-dessus", a-t-il conclu.

Une explication importante. Philippe Chevallier affirme ne pas "aimer le transhumanisme et je n'aime pas non plus l'intelligence artificielle. J'aime le "travail du cœur et de la main" comme le dit Philippe de Villiers". Par la suite, il précise penser que la société est "en train de se déliter. J'ai eu une discussion avec des petits jeunes très brillants hier". Selon ses propos, le fait d'être "souverainiste" fait qu'il ne peut donc "pas être du côté d'Emmanuel Macron". Toutefois, il indique être "peut-être en train de me tromper". Ainsi, lors des prochaines présidentielles, qui auront lieu en avril 2022, si les deux candidats à s'affronter sont Emmanuel Macron et Marine Le Pen, Philippe Chevallier sait déjà pour qui il votera. "Ce serait toujours Marine, oui. Mais je ne suis pas d'extrême droite, j'ai juste peur du mondialisme, de la société que l'on nous propose", a-t-il conclu.

samedi 16 octobre 2021

Oc...oc...oc...tobre


la douleur :10
moi : 0
l'organe qui fait pression sur les autres, me fait vivre un enfer....mène ma vie....la douleur, c'est moche !
quand l'enfoiré s'enflamme, il n'y a aucune position réconfortante et les cachets mettent 45 mn à agir.....
ma démarche ressemble à celle de quelqu'un qui recule....et j'ai intérêt à être au bon endroit à l'approche d'un épisode de vertige...curieusement ils débutent dans les magasins d'alimentation....
et la liste des aliments à éviter s'allonge...
cette définition de l'actrice noire selon Hollywood donne...  à penser ou pas
un fait divers dont le héros nous a fait la grâce de s'appeler Yassine, filmé par deux camarades....un lycée professionnel...l'enseignante est noire et a 66 ans....le point G  des médias, n'en demandait pas tant....

Restez là Yassine  lui redemande l’enseignante qui se place devant la porte.
Eh le Coran, poussez-vous Madame ! Wallah, poussez-vous, poussez-vous »
Yassine, vous êtes à l’école...ne me touchez pas Yassine !
En Seine-et-Marne, une enseignante poussée à terre par un élève

Interrogé, Yassine B. confirme le motif trivial de cette agression : avec plusieurs autres élèves, il a « perturbé un peu le cours », bafouille-t-il, « en poussant des cris d’animaux ». Lesquels ? « Je pourrais pas vous dire, des cris normal. » « Normaux », corrige la présidente, qui note que Mme D. est d’origine antillaise et cherche à savoir si les élèves imitaient le singe. L’enseignante l’envoie dans le couloir pour qu’il se calme. Mais Yassine a laissé sur son bureau une enceinte portative, qui se déclenche plusieurs fois.
(c)Le Monde

encore un petit coup de polish ?....des jeunes...noirs...ont fait sa fête à un jeune, mineur aussi...trop efféminé à leur goût...
Montgeron: une enquête ouverte après le lynchage d'un adolescent pour "son orientation sexuelle"

ben en fait :
«Ils m'ont d'abord insulté de pédé et de gay, puis j'ai pris le bras de ma meilleure amie et on a avancé»
Ils m'ont d'abord attrapé par derrière, a relaté le jeune homme. Ils m'ont jeté, ils m'ont frappé, du coup ma meilleure amie s'est interposée et m'a relevé, on a avancé et alors là, c'était le drame. Ils étaient venus des deux côtés du bâtiment, ils m'ont alors pris et cogné la tête contre le grillage, ils m'ont jeté par terre, ils m'ont frappé, m'ont mis des coups de poing, des shoots dans la tête, c'était vraiment horrible. Et tout ça gratuit, franchement c'était gratuit, et voilà, d'autant plus que je suis pas gay
Yanis a précisé qu'il ne connaissait pas ses agresseurs et que tout a démarré par ces insultes gratuites. «Ils me filmaient, et ça rigolait. Je me suis dit que j'allais mourir, très clairement. Je pouvais rien faire, j'étais par terre, je criais, y'a une maman que je ne connaissais pas qui est venue me sauver, et que je remercie beaucoup.»
Après l'agression, les individus lui ont intimé l'ordre de «bien marcher, de ne pas marcher comme un pédé». Yanis s'est enfui, est rentré chez sa mère et n'en a parlé à personne par peur des représailles et par honte, malgré les douleurs dont il souffrait. C'est le commissariat qui a prévenu sa mère. C'est par le biais d'une vidéo fortement relayée sur les réseaux sociaux, signalée dimanche à Pharos, plate-forme permettant aux internautes de signaler des contenus en ligne qui leur semblent illicites, que le jeune homme a été retrouvé.
"on" avait  dit qu'après les régionales, les sondages c'était fini ou avec des pincettes...le point G des médias qui a un livre à vendre et ne s'est pas déclaré candidat...a droit à des sondages...favorables, abondement commentés...c'est à qui sortira le sien depuis les bonnes audiences du face à face avec Méluche...

elle le trouble et le pianiste regarde dans leur direction : ah! ah! ah!
Birkin, Gainsbourg et Sardou "Si ça peut te consoler" (live officiel) | Archive INA

Confiant a commis un bouquin que  j'ai vaguement envie de lire...son bouquin sur la martiniquaise Anne Sinclair, ne m'avait convaincue de rien....

"Pour la postérité, le nom de Jeanne Duval reste lié à celui de Charles Baudelaire. Apprentie comédienne ou fille de joie, muse ou diablesse, qui était vraiment celle qui traversa la brève existence du poète, enchanta sa plume et le plongea dans les tourments de l’amour et de la passion ? Qui était Jeanne Duval, venue des îles d’Amérique ou de l’océan Indien, ou peut-être du pays des Maures, et qui fit découvrir à Baudelaire un monde insoupçonné de sensualité et d’exotisme ? Un monde encore plus singulier que celui offert par le chanvre indien et l’opium dont l’auteur des Fleurs du mal faisait une consommation déraisonnable…
C’est cette passion torride, délétère et sublime que nous raconte Raphaël Confiant dans un roman foisonnant émaillé de vers célèbres. Des pavés parisiens de l’île Saint-Louis jusqu’aux îles Mascareignes, en passant par Saint-Domingue devenue Haïti, et la Belgique, sa plume alerte nous entraîne sur les traces du poète français, auprès duquel évoluent tous les grands artistes de ce XIXe siècle flamboyant, Nadar, Dumas, Lamartine, Flaubert, Manet, Delacroix, Nerval, Gautier, et bien d’autres…"
MercuredeFrance
Outre-mer la 1ère : On prête plusieurs origines à Jeanne Duval. En fonction des circonstances ou de l’interlocuteur, elle est disait venir soit des Antilles, soit de l’océan Indien. Cette question est importante ?
Raphaël Confiant : Nous sommes arrivés à une époque où l’on commence à comprendre que l’identité est multiple. Cette phrase banale, l’identité multiple, nous l’avions écrite il y a quarante ans dans l’éloge de la créolité (ndlr, avec Jean Bernabé et Patrick Chamoiseau) en disant que personne n’est enfermé dans une seule identité. Tout à fait par hasard, j’ai redécouvert cette femme et je me suis rendu compte qu’elle naviguait entre plusieurs identités. Elle l’a fait avec une telle habileté qu’elle a réussi à s’imposer à la fois dans un milieu masculin. Rappelons que le milieu des intellectuels du XIXe, Lamartine, Nadar, Monet, qui se rencontre dans les cafés, est un milieu exclusivement masculin. En outre, l’esclavage n’est toujours pas aboli. Par ailleurs, elle réussit à s’imposer en tant que noire dans un milieu d’hommes blancs. C’est une trajectoire extraordinaire.

Qu’est-ce qui vous fascine chez Jeanne Duval ?
C’est sa force et sa puissance. C’est quelqu’un qui en impose : elle mesurait 1,80m, possédait une chevelure de métisse extraordinaire et avait un caractère bien trempé. C’est quelqu’un qui a l’habitude d’affronter les hommes. Dans les périodes difficiles, elle vit de ses charmes. Quand elle rompt avec Baudelaire, elle y est obligée. Elle a une mémoire phénoménale. Baudelaire n’aimait pas écrire. Il émettait ses vers à haute voix et elle jouait le rôle de scribe. Souvent, il lui disait : tel jour, j’ai fait quelques vers de tête, tu les as notés ? Et elle les lui tendait. Mais des fois, ils étaient fâchés et elle les  jetait. C’était rocambolesque. Mais c’est surtout la fascination exotique qui a joué. On est en pleine découverte de l’Afrique. C’est un monde qui va fasciner les peintres. Et ce qui est intéressant c’est que cela ne sombre pas dans la facilité exotique. Il y a une forte présence de l’image de la femme tropicale, de ses sens. Mais la puissance d’écriture de Baudelaire fait que jamais ce n’est caricatural, jamais au premier degré de l’exotisme.

moi : euh ! non.....quelqu'un m'a mis dans la tête que la femme du photographe Nadar était martiniquaise et google ne dit rien de cela.....mais  on a :
Maria l'Antillaise tenant un éventail

Maria l'Antillaise assise, la poitrine dénudée
tentée par....un épisode de la vie du serial fucker ultime...
 la relation méconnue entre Mitterrand et une très jeune femme, Claire, de cinquante ans sa cadette. Une histoire passionnée qui dura huit ans, jusqu'à la mort du président. 
Pour son dernier déjeuner dans le salon Starck, il n’a pas convié des amis de toujours, des collaborateurs ou des proches conseillers, mais une jeune femme, de cinquante ans sa cadette, qui s’avère être sa maîtresse depuis des années. Elle s’appelle Claire, a 29 ans, et fréquente le vieux président depuis 1988.
Avant d’être la maîtresse de Mitterrand, Claire en était la première fan. Élevée dans une famille bourgeoise de Limoges, elle se jette à corps perdu dans l’engagement socialiste, une fois arrivée à Paris. Dès 1984, elle suit le président dans ses déplacements comme une groupie, pour lui adresser parfois un mot ou seulement un sourire. Celui-ci finit par la remarquer. Quatre ans plus tard, une histoire entre eux se noue. Elle a 22 ans, lui en a 68. Claire ne parlera quasiment jamais de cette relation à son entourage.
Parfois, Mitterrand vient la rejoindre dans son petit appartement de la rue du Four. Le plus souvent, c’est elle qui se faufile à l’Élysée : les gendarmes à l’entrée la connaissent et la laissent passer, sans poser de question. « Il l’appelle tous les jours, au moins deux fois. Le matin et le soir. (…) Rue du Four, le téléphone se trouve au pied du lit. Et le répondeur à cassette dans l’entrée. Elle attend que la sonnerie résonne plusieurs fois avant de répondre, ne veut pas se précipiter », écrit Solenn de Royer, qui a pu écouter quelques-unes des bandes de ce répondeur, précieux témoin de cette folle passion.