mercredi 27 juillet 2022

En juillet

 
me revoilou ouh ! ouh !....l'organe défaillant a enfin été expulsé de mon corps...yeeehoo !
piqûres, anti-douleur et Dieu sait quoi d'autres que j'avale en   mode cocktails....et selon les doses on a des effets...intéressants....il y a clairement un avant et un après....
je tourne le dos et voilà que....
après le shitstorm qu'elle s'est pris dans la tronche en 2016, ma "grosse chanteuse préféré", réapparait dans les charts : une série a utilisé une de ses chansons....la prod' a payé pour utiliser le morceau + présence dans les charts de divers pays, dont les States = testicules en métal précieux; curieusement "on" semble penser qu'elle était fauchée avant ...
Karma is a bitch 
Le crime ne paye pas.....après le hold-up de 2017, voilà la branlée de 2022 pour le jeune président, qui n'a pas la majorité à l'Assemblée nationale...sondeurs, commentateurs, distributeurs de tracts mélanchonistes disaient que les électeurs de la droite extrême ne se déplaçaient pas aux législatives et au final  sans allié sans proportionnelle, une campagne au rabais :
 89 députés,
au faite de sa gloire, le père avec proportionnelle en avait 32....
pensée à ceux qui ont changé de crémerie pour aller chez l'ancien point G des médias : 
4,2% au premier tour...Aucun des 500 candidats ne s'est qualifié pour le second tour....
le parti de la blonde leader pourra se présenter à la présidentielle, le coffre plein
occasion d'apprendre l'existence de Justine Bénin, et sa nomination au ministère de la mer....et d'apprendre qu'il y a un ministère de la mer....

zut elle n'est pas réélue et selon la règle : tout ministre qui perd : dégage...on ne saura jamais si elle y connaissait quelque chose  à ce porte-feuille....
Pap N'Diaye est ministre de l'éducation national....une belle cible pour les rageux et facheux de twitter
mde Rachel Kéké(ex femme de ménage connue pour une longue lutte pour obtenir une augmentation de salaire)....Je ne l'écouterais pas causer pendant des heures, ni une minute d'ailleurs....ils ont déterré des tweets où elle approuvait les idées de la blonde leader de la droite extrême....je ne les ai pas lu, pas d'énergie pour elle.....
"qui d'entre vous a déjà gagné 800 euros par mois" a t-elle dit dans un discours entendu dans la boîte à son....
moi : err...well ! au....secours !
mise en examen pour recel de détournement de fonds publics, de corruption et d'abus de bien sociaux
Mam' Rolland est dans la sauce, dans Libé on lit que :
En 2001, elle rencontre Edith Bongo  alors qu'elle était marraine de concours de Miss en Afrique....En 2002, Edith lui aurait dit qu'elle lui ferait un cadeau pour la remercier de la bonne image qu'elle donnait du continent....En 2003, le couple Bongo lui donne un appartement dans un beau quartier de Paris d'une valeur de 800 000 euros...
"L'acquéreur de l'appartement serait une société de décoration française baptisée Atelier 74, qui avait une filiale au Gabon «détenant un compte dans une banque locale, sur lequel ont été déposées pendant des années des valises de cash, livrées par des collaborateurs de Bongo"
=essaye d'organiser des soirées de récoltes de don après ça....

lundi 9 mai 2022

Qui ça ?

 
Karine Jean-Pierre....née en Martinique, donc ne peut pas être tout à fait mauvaise...
on me dit que :

Visage rebondi, cheveux afro, sourire franc. Karine Jean-Pierre a été choisie par Joe Biden pour son "expérience", son "talent" et son "honnêteté". Chaque jour à partir du 13 mai, elle sera chargé de transmettre la parole du Président américain et de son administration aux journalistes, lors du briefing quotidien à la Maison blanche. Si sa nomination est hautement symbolique, son parcours exemplaire ne semblait pouvoir la mener nulle part ailleurs. Portait.

"Tout le contraire" de Joe Biden
Dans un article publié en novembre 2020, le correspondant de Radio France à Washington notait qu'elle était, en quelque sorte, "tout le contraire" de Joe Biden. Sans doute la raison de son choix ? Femme noire, jeune (44 ans), immigrée, ouvertement homosexuelle, elle est également écologiste, végétarienne et le symbole d'une modernité appréciée au sein du parti démocrate.

Engagée depuis 2007 au sein du parti, elle travaille dans un premier temps auprès du sénateur de Caroline du Nord John Edwards. L'année suivante, elle devient directrice régionale au sein de l'équipe de campagne de Barack Obama. Le président élu, elle est choisie comme conseillère politique et devient "les yeux et les oreilles du Président" dans douze Etats du nord-est du pays, du Maryland au Maine.

Durant le mandat Trump, elle continue à s'engager dans l'opposition. Elle devient porte-parole de MoveOn, un mouvement de soutien aux candidats progressistes. Elle n'hésite alors pas à s'exposer sur les plateaux TV, dont celui de la chaîne progressiste MSNBC (que s'apprêterait à rejoindre sa prédecesseure) mais aussi sur l'ultra-conservatrice Fox News, pour défendre ses idées progressistes.

En 2020, elle est logiquement rappelée par Joe Biden lors de son entrée en campagne pour la présidence. Elle y occupe un rôle central, avant de se charger de la campagne de la Vice-Présidence, Kamala Haris. Ancienne élève de Columbia, elle serait considérée par le président comme l'une des meilleures stratèges de sa génération.

Née en Martinique de parents haïtiens
Originaires d'Haïti, ses parents fuient la dictature Duvalier et émigrent dans un premier temps en Martinique, où Karine Jean-Pierre nait en 1977. Elle passe les cinq premières années de sa vie en France, avant que sa famille n'émigre de nouveau aux Etats-Unis.

Elle grandit à New-York, dans le quartier du Queens, où son père est chauffeur de taxi et sa mère soignante à domicile. Titulaire d'un diplôme en "administration publique" de la prestigieuse université de Columbia, cela lui ouvre les portes du monde politique.
Lors de la conférence de presse de passation avec sa prédécesseure hier soir, la future "Press Secretary", complètement francophone, a déclaré avoir conscience du "moment historique" que constitue sa nomination, elle dont le parcours familial est emblématique " du rêve américain.

Interrogée enfin sur le message qu'elle souhaitait livrer aux jeunes filles ("et aux jeunes garçons", ajoute-elle), elle répond : "Si vous travaillez très dur pour un objectif, cela arrivera. Oui, vous subirez des coups durs, vous traverserez des moments difficiles et cela ne sera pas toujours facile mais la récompense sera incroyable, surtout si vous restez fidèles à ce que vous êtes." Devant elle : les Midterms dans six mois, où les Démocrates vont jouer gros.

samedi 30 avril 2022

Qui ça ?

 l'autre jour en voiture, cherchant refuge sur Fip, sur Europ' fin d'une interview d'Emilie Andéole(connais pas) sur sa reconversion dans (?)....je note son nom pour une recherche ultérieur, c'est la voix d'une personne noire...
google me dit :

que effectivement....elle est née à Bordeaux, a des origines martiniquaises, donc ne peut pas être tout à fait mauvaise...elle a donc mon attention :

 “Je l’ai perçu comme ça parce que les sensations que l’on vit quand on est athlète, le dépassement de soi, cette petite touche d’adrénaline, il faut en faire un deuil”.
 “Les personnes qui n’arrivent pas à faire ce deuil-là courent toujours derrière”, précise-t-elle. “Ils vont trouver une nouvelle drogue dans de nouveaux sports, le jeu, la dépression ou l’alcool…”

 ”Ça a été compliqué parce que quand on tape aux portes, les gens ne nous écoutent pas, ou nous renvoient à telle personne, et telle personne nous renvoie à telle personne, etc.”
“Des fois, quand j’allais voir les gens, on me disait ‘oui, on peut t’accompagner sur le CV et la lettre de motivation’. Mais moi j’avais besoin de l’étape d’après. Comment me vendre, comment me mettre en réseau ? C’est là que j’ai manqué d’aide”. 
“Je m’étais toujours dit qu’une carrière d’athlète ne durait que 10-15 ans. Et c’est vrai qu’être championne olympique et au chômage, même moi je ne pensais pas que ça allait m’arriver, sincèrement”. 

La situation se débloque pour elle au début du mois de décembre 2019. Elle évoque sa détresse de championne olympique au chômage dans les colonnes du Parisien, puis reçoit un appel. Au bout du téléphone: Stéphane Nommis, fondateur de Ippon Technologies et président de la Fédération française de Judo.
On a discuté de ma situation et il m’a tendu la main. Il a cru en moi et en mes capacités parce qu’il savait que je voulais redonner. Je l’en remercie parce que je m’épanouis professionnellement aujourd’hui”. Émilie obtient le poste de directrice de la Fondation Ippon, émanation d’Ippon Technologies. Elle mène des actions pour réduire la fracture numérique dans les zones les plus démunies.
 « Je suis désolée… C'est chaud de dire ça, mais je suis en pleine galère. » A Tignes, au milieu des sportifs rassemblés dans le cadre des Etoiles du sport, la judokate qui décrocha l'or aux JO de Rio en 2016 se sent comme un poisson dans l'eau. Et pourtant. « Oui, je suis championne olympique et je suis au chômage, lâche-t-elle. Au début, c'était difficile… »

 « C'était difficile de l'avouer, de se dire que j'ai charbonné pendant douze années pour en arriver là. Je me suis battue, personne ne croyait en moi, j'étais la bonne personne à l'entraînement que personne ne regardait. J'ai gagné les Jeux, je me suis dit : Je vais en profiter. Et finalement, rien. » Elle s'interrompt. « Parfois, je regrette d'avoir été championne olympique, la chute aurait été moins dure. On idéalise trop un titre olympique. Je pensais tellement que ça changerait ma vie… » Mais aucun sponsor n'est arrivé, aucune proposition n'a été faite. « On me disait : Tu comprends, il y a Teddy Riner. Et alors ? Je suis une femme, j'ai mon histoire… »

 « Un bac, un DUT techniques de commercialisation, une licence management des organisations, des diplômes pour être professeure de judo, détaille-t-elle. J'ai toujours été consciente que le sport, ce ne serait que dix ans de ma vie, j'ai coché toutes les cases. Depuis, j'envoie des CV, des lettres, j'ai fait un bilan de compétences, j'ai peaufiné, j'ai repris des études… »

« L'année après les Jeux, j'ai perdu mes repères, mon corps a fini par dire stop. Je suis partie m'installer à Bordeaux et, depuis, c'est la galère. » La championne puise dans ses économies. « La Fédération de judo a prolongé ma bourse d'un an car j'ai mis en place une tournée, mais, en janvier, tout ça va s'arrêter », alerte-t-elle. Elle sourit : « Heureusement, je n'ai pas été dépensière. » Derrière le sourire, on sent une douleur profonde. « Ça me fait du bien de parler… Tout ça a eu des conséquences sur mon moral, parce que c'est dur. J'ai pris 10 kg, depuis je fais un gros travail sur moi-même pour extérioriser, je me suis mise à écrire… Mes parents s'inquiètent, je les rassure mais je ne m'attendais pas à ça. »

 « Douze ans de haut niveau, ça laisse des traces, et l'après… J'avais entendu parler de la petite mort d'après-carrière. Moi, j'ai perdu cette adrénaline. Le judo me permettait de faire sortir tout ce que j'enfouissais au fond de moi… Ce n'est pas simple quand on est une adolescente d'être pas très grande, ronde et noire, le sport m'a permis de prendre confiance en moi. J'aimerais que mon parcours aide des jeunes… » Elle cherche ce qui cloche : « Peut-être que j'aurais dû être davantage présente sur les réseaux sociaux, peut-être que j'aurais dû rester à Paris. Les gens idéalisent le truc, mais, non, je ne suis pas devenue la reine du pétrole à Rio ! Mais j'ai plein d'idées, plein d'envies. » 

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 Mais aucun sponsor n'est arrivé, aucune proposition n'a été faite.
quel produit espérait-elle représenter ?...quel sponsor espérait-elle attirer ?