lundi 15 février 2021

Février déroule

3ème confinement, il semblerait que le président ait bien fait de ne pas suivre le blah blah contradictoire des professeurs  de médecine dont les médias nous saoulent...
ces épaules sont...euh..err..menaçantes ?...
moment de ma vie où je découvre, que  je ne digère pas la carotte crue...râpée, puis en bâtonnet très très longuement mâché...ben heu glourp !....2 jours de jeûne pour m'en remettre...
dans la queue d'un magasin alimentaire où je ne vais jamais...il pleut...il y a une  jauge, avec fermeture automatique de la porte...devant moi deux femmes arabes fichu sur la tête causent, devant elles, un type avec des boucles d'oreilles, le gaydar me dit : gay viril et en colère...et effectivement, quand surgit une femme noire, avec une carte qu'elle tend au jeune vigile noir, il se met à hurler que c'est injuste, que la carte est fausse, qu'on peut les avoir pour pas cher à Barbès, y'en a marre des fraudeurs...la femme fait donc partie du lot suivant quand la porte s'ouvre...quelques minutes passe, un homme noir,   longe la file et tend une carte au vigile, l'homme aux boucles d'oreilles se  remet à hurler que la carte vient de Barbès pour pas cher, que la France va mal qu'on y fait ce qu'on veut qu'il devrait y avoir plus de contrôle aux frontières et même les fermer, j'entends une voix masculine renchérir, qu'il faudrait nettoyer le pays renvoyer ces gens chez eux ces gens qui ne travaillent pas et qui profitent de l'aide social...l'une des femmes arabes est d'accord avec l'homme aux boucles d'oreilles et dit à son amie que son mari est un vrai français...sur ce j'éclate de rire, parce que what the fuck with Barbès ...une fois dans les lieux, on est plutôt nombreux, je me  rends compte que je n'ai besoin de rien, ne suis tenté par rien...personne dans les caisses automatiques, je repars avec du gingembre moulu et de la farine...
j'essaye de lire des article sur la nouvelle directrice del'OMC, mam' Ngozi Okonjo-Iweala, première femme et première africaine à ce poste...etude aux States...pas de fantaisie capillaire...enfance plein de malheur....
la Martinique a aussi son affaire dont tout le monde se foutrait si ce n'était mam' Pulvar....

Trois femmes de sa famille ont publié une lettre, le 6 février,  dénonçant un "héros martiniquais, pédocriminel et violeur". 
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 "Ici, à Paris, ce n'est pas l'affaire Marc Pulvar, ce n'est pas la parole des victimes qu'on a entendue, c'est mon nom qui a été mis en exergue", a déclaré celle qui est désormais adjointe à la maire de Paris et candidate aux élections régionales en Ile-de-France
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Mort en 2008 à l'âge de 71 ans, Marc Pulvar était une personnalité en Martinique. Professeur de mathématiques à l'origine, il a marqué la vie politique de l'île......
En 1973, Marc Pulvar fonde le mouvement La Parole au peuple, qui deviendra, cinq ans plus tard, le Mouvement indépendantiste martiniquais (MIM). Il s'est ensuite engagé auprès des travailleurs en créant la Centrale syndicale des travailleurs martiniquais (CSTM) en 1974. Il était depuis considéré comme une grande figure du syndicalisme et un leader indépendantiste en Martinique.
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Marc Pulvar est accusé de pédocriminalité par trois de ses nièces. Il s'agit de Karine Mousseau, une femme politique de premier plan en Martinique (élue territoriale et présidente du comité martiniquais du tourisme) et de ses cousines Barbara Glissant (fille de l'écrivain Edouard Glissant) et Valérie Fallourd.

"A l'âge de 7 et 10 ans, nos routes ont croisé celle d'un homme", ont-elles écrit dans une tribune . "On l'encense aujourd'hui encore en Martinique, parce qu'il a été un militant, syndicaliste, défenseur des opprimés, ajoutent-elles. C'était l'oncle de la famille, le favori, adulé déjà, par tous." Les trois femmes expliquent vouloir "en finir avec cette héroïsation du personnage, ne plus jamais lui rendre un quelconque hommage à l'avenir et désormais penser à lui comme il le mérite".
"Les vacances d'été du tout début des années 1980 ont été pour nous le théâtre de ses exactions, racontent-elles, particulièrement le camping sauvage sur l'une des plus belles plages de la Martinique, où il avait la gentillesse de nous emmener, avec la reconnaissance attendrie de nos proches."

"Marc Pulvar, le héros, savait parler, écrivent Karine Mousseau, Barbara Glissant et Valérie Fallourd. Mais quand Marc Pulvar parlait aux petites filles, il s'y prenait autrement. Et cette histoire là, il faut la connaitre. Il leur parlait doucement oui, comme si de rien n'était, pendant qu'il mettait ses mains dans leur culotte, les masturbait", relatent-elles. "Il avait l'art de nous isoler (...) Combien de bains de mer seules avec lui, il aimait nous porter et nous caresser sous l'eau, à quelques mètres d'adultes aveuglés."
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Audrey tête de liste en Ile-de-France aux élections régionales prévues en juin, a expliqué avoir "été mise au courant des crimes commis" par son père "il y a une vingtaine d'années" par ses cousines. Elle assure les soutenir "pleinement" et salue "le courage" dont elles font preuve. "Cela a été un choc très profond pour mes proches et moi. Tant qu'elles ne souhaitaient pas s'exprimer publiquement, ce n'était pas à nous, à moi, de nous substituer à leur parole de victimes"

"Les faits se sont produits il y a quarante-cinq ans, mais quand j'étais enfant, au moment des faits, je sais qu'il s'est passé des choses confusément. Ma cousine m'avait dit : 'Ton père met sa main dans ma culotte'", a-t-elle déclaré sur France Inter lundi. Mais "il ne m'est pas venu à l'idée de le dénoncer", a-t-elle poursuivi. "Ça n'était pas à moi de le faire", a expliqué l'actuelle adjointe à la maire de Paris, qui a tenu à assurer : "Je suis toujours du côté des victimes."

"Je suis là comme fille d'un pédocriminel. Quand vous êtes la fille d'un monstre, vous vous demandez si vous n'êtes pas un monstre vous-même", a-t-elle également confié.

mardi 9 février 2021

Janvier en sa fin 2

les medias sont déçus que le 1er ministre sans charisme, n'ai pas annoncé de confinement...donc ils  prédisent un inévitable confinement futur...ils triplent la dose d'experts pour le dire...il semble qu'il y ai un réservoir de spécialistes en tout et son contraire et je n'ai pas de grenade...il faudrait aussi localiser le nid...
j'ai sérieusement googelisé pour en savoir plus sur le cours de l'aubergine...il semblerait que le recours à une main d'oeuvre française(plus de  charges) y soit pour quelque chose...pas satisfaisant...pourquoi  les autres légumes n'ont ils pas eux aussi, un prix indécent.....de toute façon je suis passée aux chou de Bruxelles...

suite des aventures du confinement 2 de novembre dernier...

nous avons vu Only You avec miss L. Costa...elle est nettement mieux traité que dans le pute Newness...avec des scènes que seule une actrice européenne aurait accepté...
dans O.Y, elle est en relation avec un type plus jeune, 10 ans d'écart...ils veulent un enfant,  mais ses oeufs sont défaillants, ils se tournent vers des FIV, qui échouent....blah blah blah...le film est très        bien, il y a une vraie chemistry entre les acteurs, le film est anglais, bon, et serait entièrement différent s'il avait été entre les mains d'un ricain...
le point qui nous intéresse ici, c'est J.O'Connor, acteur anglais avec de l'oreille décollée...son nom était passé dans mon radar à cause de The Crown dont je me fous...dans O.Y, la première scène de séduction, qui les amènera à coucher le premier soir de leur rencontre, O'Connor danse...et là le gaydar vibre "toi tu es de la fanfare"...une autre scène en boîte, il danse sur du Bronski Beat, Smalltown Boy : le gaydar revibre....holala !...cette façon de se déhancher fait penser que quelqu'un ....alerte le gaydar(oui j'en ai un, voir épisode précédent)...il a deux scènes de colère et il utilise la puissance de sa  voix, c'est extrêmement efficace, il  pourrait jouer un méchant convaincant si on lui donnait l'occasion..
je googelise...il a   joué dans God's Own country, qui a de très bonnes critiques...il y joue un gay(tout en virlité) qui est en relation avec un ouvrier agricole itinérant roumain dans un trou de la campagne anglaise...il va découvrir l'amour au lieu du sexe brut...
regardez-moi ces oreilles menaçantes, mais  moins que celles d'A. Driver
leur première fois dans la boue, sans oublier la scène où il enfonce son bras dans le derrière de la vache pour l'inséminer....quel rapport avec Brokeback Mountain et ses pauvres étreintes ?....
blah blah et blah ...n'empêche qu'au sujet d'O'connor, le gaydar dit que...google nous dit de ses relations avec des êtres du sexe féminin, une actrice et une héritière....dans les commentaires de ses vidéo, on doute de son orientation, à cause de sa façon précieuse de s'exprimer....il n'a rien à dire, semble drôle, et le fait avec un sourire plus large que la vie....
il cadre bien avec mon idée de la folle hétéro...avec passage de l'autre côté et je n'arrive pas retrouver le passage d'une interview où il dit avoir été dans des relations avec gens  indisponible, ces gens sont clairement des mecs....l'interviewer ne rebondit pas...
j'ai vu un film scandinave...peut-être suédois...d'un ado frappé par papa, dès qu'il montre des signes d'insolence et pour masquer le bruit des coups donnés par une collection de cravaches..il se retrouve  en pension où les grands réservent un sort aux plus jeunes...douleur et humiliation sont au programme...le personnel encadrant ferment les yeux...mais comme son père le cogne, donc même pas mal...ça m'a semblé long, n'aurait pas trouvé de place sur le marché ricain...c'était même pas sous-titré...
les deux souffre douleur sont dans leur chambre, on essaye d'ouvrir la porte qu'ils ont bloqué avec une pile de bouquins...la porte s'ouvre et on balance un seau d'excréments qui se répand sur leur lit, bureau....
j'ai essayé Bridgerton, cette fois en dépassant le générique, un episode au hasard, je ne vois aucune steamy sex scene dont le Mail ne cesse de causer....ma paupière est lourde et je m'endors, un autre épisode en avance rapide...aucune révélation, je ne vois pas la lumière...l'acteur light skin ne me touche pas  par son jeu...
je ne suis pas le public visé

samedi 30 janvier 2021

Janvier en sa fin

de cette histoire de couvre-feu à 18 heures...mon cerveau semble avoir compris que c'est à partir de cette heure que l'on peut manger nawak : 
lundi dernier  un bounty, M&S, snikers...
le soir suivant : biscuits fourrés à la vanille d'une sous-marque, 8 mini mars
youpi le politique a résisté au médical...pas de 3ème confinement....les professeurs de médecine se répandaient qu'il en fallait un d'urgence...les médias s'acharnent à en trouver pour donner leur avis....
il est certain, que je n'aurais pas supporté un confinement sans le soutien de quelques cocktails médicamenteux...
je n'ai toujours pas lu le bouquin de C.Kouchner...il faudrait que quelqu'un l'achète et que je l'emprunte....
le type est passé de grand constitutionnaliste à  l'incarnation de la pédophilie...la pire des étiquette...quoiqu'il fasse pour la décoller...c'est mort...

Le frère jumeau de Camille Kouchner, qui, selon elle, a été agressé sexuellement à l’adolescence par leur beau-père, le politologue Olivier Duhamel, a pour la première fois porté plainte contre ce dernier, mardi 26 janvier. C’est l’avocate qui l’a annoncé dans un communiqué.
« Dans le cadre de l’“affaire Duhamel”, la victime présumée fait savoir, par l’intermédiaire de son avocate Me Jacqueline Laffont, qu’elle a déposé plainte contre son ex-beau-père Monsieur Olivier Duhamel suite à l’ouverture d’une enquête préliminaire diligentée par le parquet de Paris », indique son conseil dans ce communiqué.
(c)lemonde.fr/societe/article/2021/01/26/affaire-olivier-duhamel

Les témoignages arrivent par centaines. « J’avais 15 ans, mon frère », « c’était mon grand-père », « l’oncle cool de la famille »… : dans la foulée de l’affaire Duhamel, des victimes d’incestes, hommes et femmes, prennent la parole sur Twitter, adossant leur témoignage au le hashtag #Metooinceste.
Les brefs récits publiés font tous état d’un même traumatisme : celui d’avoir été abusé sexuellement, enfant, par un adulte de leur sphère familiale. « J’avais 5 ans. En une soirée, ce frère de ma mère a bouleversé ma candeur (…) En une seconde j’avais 100 ans », témoigne une internaute. « Ça s’est passé à plusieurs reprises entre mes 6 et 8 ans. J’ai compris que j’étais une victime à l’âge de 40 ans », raconte un autre. « J’avais entre 11 et 14 ans. C’était mon frère. J’ai 57 ans et je suis toujours victime de ce passé », écrit encore une autre.

tournons le regard vers notre île natale où tout est mis sur le compte du...vice...merci la religion...


Depuis quelques jours, le hashtag #metooinceste émerge sur les réseaux sociaux. Des victimes témoignent, souvent pour la première fois. Mais la petite taille et la promiscuité des territoires insulaires rendent la libération de la parole plus difficile en Outre-mer, selon le psychiatre Louis Jehel.

.....véritable tabou dans certaines familles des Outre-mer... fréquence des crimes d'inceste, de la difficulté plus grande à en parler, conscient que les victimes, notamment les femmes, développent fréquemment des comportements addictifs aux drogues et à l'alcool et recourent plus souvent au suicide ou à la tentative de suicide. 

"Ce qui est singulier ici, c'est que les Antilles sont des îles, explique le Dr Jehel qui exerce en Martinique. Le caractère insulaire des territoires d'Outre-mer - quand il s'agit de territoires insulaires - fait qu'on est sur des densités de population importantes et que beaucoup de familles se connaissent. On a un phénomène d'interconnaissance qui rend les choses très compliquées." Raconter une ou plusieurs agressions sexuelles commises par un parent proche, sans craindre d'être stigmatisé, pointé du doigt ou tout simplement reconnu, c'est toute la difficulté des victimes qui vivent dans des petits environnements, refermés sur eux même, comme la plupart des territoires d'Outre-mer.

J'en ai vu beaucoup des victimes d'inceste en Martinique et, pour un grand nombre d'entre elles, lorsque les faits commencent à être révélés, elles se sentent acculées avec un choix : soit se suicider soit quitter la Martinique." Pour le médecin, les victimes manquent du soutien de la communauté et subissent une pression familiale bien plus forte qu'ailleurs. Elles se sentent "en danger. Beaucoup prennent la décision de partir, notamment au moment du procès, au moment où les faits sont révélés, parce qu'elles ont une pression trop importante. C'est un gros effort de rester." 

L'inceste plus tabou en Outre-mer
"Acculées", nombre de victimes préfèrent se taire, ne pas déposer plainte, malgré "une situation profonde très désorganisante, très déstructurante et dans laquelle elles peuvent souffrir des dizaines d'années en silence."  A la difficulté d'évoquer un crime ignoble commis par un parent s'ajoute le poids du tabou. Louis Jehel évoque "l'absence de discours et le fait qu'il ne faut pas en parler qui est plus important en Outre-mer."
Comme le silence qui l'accompagne, l'inceste est parfois un héritage dans certaines familles. "Comme c'est fréquent et banal, j'entends aussi beaucoup de mamans dire à leurs petites filles : 'ce n'est pas grave, j'ai vécu la même chose, tu vas voir, tu vas finir par l'oublier. Et, du coup, tu fais comme moi, tu te tais et tu vas l'oublier.'"

L'inceste plus fréquent en Outre-mer
D'une manière générale, "les populations concernées par l'inceste sont beaucoup plus nombreuses qu'on ne le pense", affirme le Dr Jehel. Pourtant, à son arrivée en Martinique il y a dix ans, le psychiatre - qui s'intéressait déjà au phénomène de l'inceste - essuie une forte défiance : "on m'a dit que l'inceste n'existait pas en Martinique, on m'a dit qu'il fallait que j'arrête de parler de cela, qu'il n'y avait pas d'inceste en Martinique."
La question de la fréquence de l'inceste aux Antilles est évoquée, en mars 2019, dans un rapport d'information de la délégation aux Outre-mer de l'Assemblée nationale : "Une donnée spécifique dans l’arc caribéen est la prégnance de croyances magico-religieuses qui attribue à la virginité richesse et réussite, ce qui contribue à un fort taux d’inceste", d'après Josette Augustin, déléguée régionale aux droits des femmes en Martinique.
Dès 2014, Pascale Vion, alors rapporteure d'une étude pour le Conseil économique social et environnemental, affirmait qu'"en Martinique, 7% des femmes sont victimes de violences sexuelles. Ces violences sexuelles sont plus nombreuses qu’en métropole et notamment les cas d’inceste. Après des auditions menées sur place avec la déléguée aux droits des femmes, nous avons appris que l’inceste porterait bonheur à la famille et notamment au père incestueux. L’inceste ferait donc partie d’une sorte de tradition culturelle dans certaines familles."

Trouver de l'aide, sans craindre d'être stigmatisé ou menacé
Même si elle est moindre en Outre-mer, la libération de la parole vient avec son revers, une forme de déstabilisation des victimes : "elles ont des réactions de colère [face aux témoignages des autres]. Elles se disent 'pourquoi on en parle autant? Moi qui ai fait tant d'efforts pour ne pas y penser. Et là on m'impose d'y penser tout le temps." Cette multiplication soudaine des prises de parole, des témoignages liés au hashtag #metooinceste, met certaines victimes en danger. Et trouver une aide adaptée n'est pas toujours facile. 

euh, je lève un sourcil  "Une donnée spécifique dans l’arc caribéen est la prégnance de croyances magico-religieuses qui attribue à la virginité richesse et réussite, ce qui contribue à un fort taux d’inceste", d'après Josette Augustin, déléguée régionale aux droits des femmes en Martinique.
et il y a ceux qui veulent faire un procès à Gainsbourg et ressortent la chanson Lemon incest...qui appartient à son époque et je n'arrive pasà être choqué, j'ai l'impression de quelqu'un qui est content  d'avoir trouvé les sonorités un zeste de citron lemon incest