J'ai relu Dans
les bois d'Harlan Coben...j'ai évidemment moins aimé, le côté page turner
est toujours là mais...pas efficace, trop de bons sentiments, et de "j'aime
les belles femmes.....une femme belle ça me bouleverse....une femme belle gna! gna!gna!...et si t'es moche t'as pas le droit d'exister...
juste avant j'avais lu un Patricia Mac Donald, une nana est accusée d'avoir tué mari et bébé, et sa meilleure amie mène l'enquête pour nous dire que Dieu c'est-y pas possible, et bien sur, à la fin elle trouve l'amour......sort de ces corps Mary Higgins Clarck........ces deux bouquins ont un côté putassier.....et on a les doigts gluant....de glucose....
J'ai enchaîné avec The killer inside me de Jim Thompson, écrit en 1952, un shériff adjoint, dans une ville paumée du Texas, commet des crimes et accessoirement bat les femmes....c'est un page turner que j'ai lu d'une traite...la fin où il met le feu à la maison n'est pas claire, il a foutu le feu à la maison et les autres n'ont rien vu venir...n'ont rien senti.....
juste avant j'avais lu un Patricia Mac Donald, une nana est accusée d'avoir tué mari et bébé, et sa meilleure amie mène l'enquête pour nous dire que Dieu c'est-y pas possible, et bien sur, à la fin elle trouve l'amour......sort de ces corps Mary Higgins Clarck........ces deux bouquins ont un côté putassier.....et on a les doigts gluant....de glucose....
J'ai enchaîné avec The killer inside me de Jim Thompson, écrit en 1952, un shériff adjoint, dans une ville paumée du Texas, commet des crimes et accessoirement bat les femmes....c'est un page turner que j'ai lu d'une traite...la fin où il met le feu à la maison n'est pas claire, il a foutu le feu à la maison et les autres n'ont rien vu venir...n'ont rien senti.....
je pensais à
American psycho....
qui a poussé le concept bien plus loin...
p.56 : - tu ne vas pas voyager, bébé, fis-je et je la frappai encore. Cette fois elle avait pigé.
Elle se dressa d'un bond et je fis de même. Je l'attrapai par le bras et lui balançai un aller et retour bien senti. Elle s'en alla valdinguer à reculons dans la chambre et s'écroula contre le mur. Elle parvint tant bien que mal à se relever, tout en marmonnant je ne sais quoi puis, la tête la première s'affala vers moi; j'en profitai pour lui expédier mon poing en pleine poire.
Je la collai le dos au mur, tout en lui martelant le crâne; j'avais l'impression de donner des coups de poing dans une citrouille. Une citrouille ben dure. Puis, soudain, tout s'est démantibulé à la fois. Elle s'est effondrée; ses genoux se sont dérobés sous elle, lentement, centimètre par centimètre, elle a réussi à se redresser encore une fois.
....je pris mon élan, très bas et lui expédiai un uppercut sous le menton. J'entendis un craquement sec; tout son corps se trouva projeté en l'air is retomba comme un tas de chiffes sur le plancher.
J'essuyai mes gants sur elle; après tout, c'était son sang à elle; ça lui revenait de droit !
p.169 : Et je la frappai dans le ventre, de toutes mes forces. Mon poing pénétra jusqu'à sa colonne vertébrale et les chairs se refermèrent autour de mon poignet ! D'un brusque mouvement, j'arrachai mon poing; aussitôt elle se plia en deux à la ceinture, comme si elle avait une charnière, et elle s'effondra la tête la première.
p.34 : "....n'auriez-vous pas aussi une solution pour nos graves
problèmes, le problème des noirs par exemple ?
-Ma foi, c'est assez simple. Moi je les renverrais tous en Afrique"
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