soirée alcoolisée où des gens donnaient leur avis...avec un sérieux qui donnaient envie de boire, plus ça pontifiaient, plus ça enfonçaient des portes ouvertes, plus je buvais....le lendemain, pas un, mais deux boutons de fièvre...un sur la lèvre supérieur côté droit...l'autre énorme sur la lèvre inférieur côté gauche...ça équilibre....
ouais ! on est tous sensé porter un masque...donc !
et pis y'a Marine Le Pen qui est un peu perdue, quand elle va pas chercher un paquet de cigarettes, un peu de coc' ou un peu d'alcool c'est un peu difficile pour elle de faire de la politique d'avoir un cap
va falloir couper tout ça au montage après tout j'assume faudra qu'elle porte plainte et à ce moment là je donnerais mes sources
Le Secours populaire a enregistré une explosion des demandes d'aide alimentaire pendant le confinement, où près d'un requérant sur deux était un nouveau venu, selon le dernier baromètre de l'association (PDF) publié mercredi 30 septembre.
"Je ne mange qu'une fois par jour" : des "nouveaux pauvres" racontent comment la pandémie les a fait basculer dans la précarité
Pendant les deux mois du confinement, 1 270 000 personnes ont sollicité l'aide du Secours populaire dans ses permanences d'accueil. Parmi ces demandeurs, 45% étaient jusque-là inconnus de l'association, indique ce baromètre réalisé avec Ipsos. "Un chiffre absolument énorme", s'alarme Henriette Steinberg, secrétaire générale de l'association. "Mais j'ai bien peur que ce soit encore en train d'augmenter."
Selon cette étude, un Français sur trois a subi une perte de revenus en raison de la crise liée à la pandémie de coronavirus, et 16% la décrivent comme "importante". Par ailleurs, 57% des Français ne sont pas partis en vacances cet été, et 1 sur 4 pour des raisons financières. Parmi eux, 61% touchaient moins de 1 200 euros par mois, et 49% étaient ouvriers.
Le confinement a aussi accentué les inégalités scolaires, avec le "manque de matériel informatique (ordinateurs, imprimantes) et d'accès à internet pour suivre l'école à distance, des logements exigus ne permettant pas de s'isoler pour étudier dans le calme", souligne l'association, rappelant que 500 000 enfants auraient décroché scolairement. Les étudiants, nombreux à occuper de petits boulots pour financer leurs études, représentent une autre catégorie durement touchée par la crise et le chômage qui l'a accompagnée.
"Nous n'avons jamais vécu une situation pareille depuis la Seconde Guerre mondiale, et il y a urgence pour aider tous ces gens", affirme la responsable associative. "Beaucoup n'avaient jamais demandé d'aide à personne. Et là, non seulement ils n'ont plus de quoi se nourrir, mais ils ne peuvent plus payer leur loyer ni l'électricité". En 2019, le Secours populaire avait au total aidé près de 3,3 millions de personnes et s'attend à un chiffre "largement supérieur" pour 2020.
En France, la forte hausse du chômage déjà enregistrée en 2020 risque de continuer, avec 800 000 suppressions d'emplois attendues cette année selon la Banque de France, avant même l'annonce de nouvelles mesures de restrictions sanitaires le 23 septembre.
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