ok ! il y a une 2ème vague, qui n'est pas aussi...puissante que prévue....
j'ai décroché médiatiquement et suis vaguement l'affaire...voire pas du tout...j'ai de nouveau totalement abandonné la boîte à images...un peu pour la boîte à son qui elle aussi, s'obstinne à nous donner l'avis de professeurs de médecine....un matin de la semaine dernière, dans les infos de 7 heures, ils ont déniché un suisse...manifestement réputé...il a enchaîné des mots...et pendant quelques minutes j'ai été tenté de chercher en quoi son blah blah était pertinent....
je lis un article sur des africains qui ont eu la bonne idée d'aller voir si l'herbe est verte en Arabie Saoudite et bien sûr on leur a réservé un...sort...
extrait :
Arabie Saoudite, l' un des pays les plus riches de la terre, des centaines, voire des milliers de migrants africains sont bloqués dans des conditions abominables rappelant les camps d'esclaves de la Libye dans le cadre d'un entraînement pour arrêter la propagation de Covid-19...
Des images de téléphones portables envoyées au journal par des migrants détenus à l'intérieur des centres de détention montrent des dizaines d'hommes émaciés paralysés par la chaleur arabe, torse nu en rangées serrées dans de petites pièces aux fenêtres à barreaux. ....
les migrants dont plusieurs affichent des cicatrices dans le dos affirment être battu par les gardiens qui leur lancent des insultes raciales .«C'est l'enfer ici. Nous sommes traités comme des animaux et battus tous les jours »
L'Arabie saoudite, riche en pétrole, exploite depuis longtemps la main-d'œuvre migrante d'Afrique et d'Asie. En juin 2019, environ 6,6 millions de travailleurs étrangers représentaient environ 20% de la population du pays du Golfe, la plupart occupant des emplois mal payés et souvent physiquement pénibles.
Les migrants travaillent principalement dans la construction et les rôles domestiques manuels que les ressortissants saoudiens préfèrent ne pas faire eux-mêmes. Beaucoup viennent d'Asie du Sud, mais un important contingent vient de la Corne de l'Afrique, qui se trouve de l'autre côté de la mer Rouge.
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Au cours de la dernière décennie, des dizaines de milliers de jeunes Éthiopiens se sont rendus dans l'État du Golfe, souvent aidés par des agents de recrutement saoudiens et des trafiquants de personnes, dans le but d'échapper à la pauvreté chez eux.
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«Nous mangeons un petit morceau de pain le jour et du riz le soir. Il n'y a presque pas d'eau et les toilettes débordent. Il déborde là où nous mangeons. L'odeur à laquelle nous nous habituons. Mais nous sommes plus d'une centaine dans une pièce et la chaleur nous tue », a déclaré un autre jeune éthiopien.
je me suis tapée deux articles, pas 3 pas 4 et plus, seulement 2...sur l'opération militaire en Ethiopie entre l'armée et le Front de libération du peuple du Tigré...et euh ! ah ! bon ben voilà ! voilà !
je suivais le procès Sarkozy sur twitter quand :
"...dans les services secret ils sont pas toujours fufutent et on arrive à déjouer leur manoeuvre mais là c'est , enfin moi je sais pas je suis l'avocat d'un président de la République euh je fais comme les trafiquants de drogue je vais voir un africain, je lui prends, Porte de la chapelle je lui prends son portable..."
Sans la vidéo, Michel Zecler pense que son affaire aurait fait l’objet, au mieux, d’une brève dans les journaux. Peut-être, a-t-il dit lors d’une interview jeudi, y aurait-on lu quelque chose comme: “Un jeune homme, Noir, habillé avec un sweat et capuche, une sacoche, a agressé des policiers, a essayé de prendre leurs armes. Si je n’ai pas mes caméras, je suis en prison aujourd’hui", a-t-il ajouté, en référence aux caméras de sécurité à l’entrée de l’immeuble qui abrite son studio d’enregistrement.
Samedi 21 novembre, dans le 17e arrondissement de Paris, Michel, originaire de Martinique, producteur et directeur de "Black gold studios", croise la route d'une patrouille de police, alors qu'il s'apprête à entrer dans les locaux de son entreprise. Ne portant pas de masque, les policiers tentent de l'interpeller. La scène qui suit est d'une violence inouïe et dure de longues minutes. Filmées par des caméras de surveillance, les images ont été diffusées par le site Loopsider.
Trois des quatre policiers placés en garde à vue l'ont été des chefs de violences volontaires par personne dépositaire de l'autorité publique, en réunion, avec arme et à caractère raciste, faux en écriture publique par personne dépositaire de l'autorité publique, violation de domicile par personne dépositaire de l'autorité publique et dégradations volontaires de bien privé. Le dernier l'a été des chefs de violences volontaires par personne dépositaire de l'autorité publique, avec arme et en réunion ainsi que du chef de dégradations volontaires par moyen dangereux (Source parquet de Paris).
À l’air libre (33) Violences policières, racisme: « Un puissant déni »
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