mars 2022, mois où je glisse surement mais doucement vers une dépression post- hivernale....occasion de manger nawak, comme le lion au caramel blond, une tuerie....
plus croustillant sous la dent que :
plus long mais dur à croquer
et puis avec du lait auquel je fais une intolérance sévère :
la lecture des ingrédients s'est révélé être une vraie aventure....un défi...
la seule phrase compréhensible :
puis 2 bounty et 2 mars...
oui mais, j'avais un stock d'heures d'exercices physiques....et j'ai tapissé mon estomac de carottes...j'ai enchaîné avec trois jours de jeûne où j'ai bu de l'eau et de la cannelle au citron....
<<<<je suis fin prête pour le Carême et ses restrictions.....
j'apprends que :
on est en mars et ça fait un an que j'ai arrêté le petit écran...yaouh !"ils sont blancs ils sont comme nous, c'est en Europe donc on s'identifie plus"
"les migrants syriens et afghans, les basanés ils fuient la guerre de leurs pays tandis que les ukrainiens restent et se battent"
les hommes entre 18 et 50 ans ont interdiction de quitter le pays et doivent prendre les armes pour le défendre...
= l'Ukraine, le point G du moment des médias....ça ne va pas durer...mr Macron, président de l'Europe en profite pour se cacher derrière cette histoire...
si Poupou avait fait ça en douce et presque par surprise ou fait descendre le président, on en serait pas là....avec cette émotion médiatique sur jouée....tout ça pour dire que je n'en peux plus des spécialistes, des faut qu'on y'a qu'à, des généraux qui donnent des conseils de stratégie, gnagnagna....
en tout cas...des images de guerre c'est plus fort que le covid
Ivoiriens, Indiens, Camerounais, Marocains... De nombreux ressortissants étrangers qui résidaient en Ukraine tentent également de rejoindre la Pologne,
...Stephan ne retient ni la peur des bombardements, ni la vie qu'il a laissée derrière lui. Il retient uniquement les coups de crosses de Kalachnikov, les insultes et les menaces lancées par les soldats ukrainiens et les garde-frontières tout au long de sa fuite. Des violences racistes que rapportent également de nombreux ressortissants et étudiants africains, pakistanais, indiens ou encore népalais, qui seraient constamment relégués de façon inhumaine derrière les exilés ukrainiens pour quitter le pays au plus vite.
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On y voit des soldats ukrainiens repousser à l'arrière des files les personnes de couleur, pourtant résidentes légales en Ukraine, pour faire passer en priorité les personnes blanches.
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"Ils faisaient passer les femmes et les enfants d'abord, ce qui est normal», raconte Stephan, qui travaillait en tant qu'ingénieur des ponts et chaussées en Ukraine. Parti de Kiev à 6h du matin le samedi, l'homme espérait attraper un premier train avec ses amis, avant de vite déchanter sur les quais de la gare. «Sur le côté, il y avait plein de femmes africaines avec leurs enfants que personne ne faisait passer devant, contrairement aux Ukrainiennes. D'un coup, les policiers nous ont repoussés. Il y en a un qui m'a frappé avec un fusil», ajoute le Camerounais....
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le groupe de Camerounais est contraint de marcher sur plus de 12 kilomètres, comme tout le monde. Rapidement, un premier check point. «Là, la situation s'est empirée pour les étrangers. On a dû former un corridor, bloqué par les armes des soldats, comme du bétail. “Je vais tirer”, ils disaient, en mettant des coups de crosses!», explique Stephan. Juste à côté d'eux, les femmes et les enfants ukrainiens défilaient sans difficulté. «On a passé presque deux jours au premier check point, debout, sans manger, sans eau, sans douche et dans le froid.»
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Poussé à bout, le groupe de Camerounais a finalement compris comment s'en tirer: en payant les soldats les plus agressifs. «Ils ne te demandent pas de l'argent frontalement, mais ils te mettent dans des conditions telles que tu es obligé de payer pour que ça s'arrête.» Le groupe déboursera finalement 1.000 hryvnia (environ 30 euros) une première fois, puis 100 dollars au deuxième check point. «À un moment, je me suis demandé si j'étais un être humain», se questionne d'une voix basse le Camerounais.
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un groupe de cinq Népalais raconte leur voyage en enfer. «C'est simple, il y a d'un côté la file des Ukrainiens, de l'autre celle des étrangers. D'un côté on les laisse tranquilles, de l'autre on les traite comme des animaux», s'exclame Padma, une jeune Népalaise qui étudiait la médecine en Ukraine. Comme elle, des dizaines de milliers d'étudiants étrangers résidaient dans le pays d'Europe de l'Est, venant principalement du Maroc, d'Égypte, d'Inde ou encore de plusieurs pays d'Afrique subsaharienne.
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«On était comme des singes», ajoute la jeune femme, en expliquant s'être retrouvée bloquée à quelques kilomètres de la Pologne, après son voyage en train. «Il donnait de la nourriture aux Ukrainiens, pas à nous.» Un de ses amis l'interrompt en criant: «On leur a même proposé de l'argent! Mais ils disaient qu'il n'y avait plus rien.» Après 36 heures sans manger, le groupe a finalement été accueilli par la police polonaise, avec de l'eau et à manger. «Eux ils nous ont bien traités», ajoute Padma. «Rien que leur façon de nous parler n'avait rien à voir», renchérit Milan, un autre Népalais.
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La jeune femme emmitouflée dans une couverture boit une gorgée de soupe chaude, et ajoute: «On nous laissait un peu plus tranquilles les femmes, et moi on ne m'a pas frappée. Mais il y avait quand même des animaux domestiques qui passaient devant nous.»
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