mercredi 12 novembre 2025

Quelque part dans novembre

la Cure Gourmande était en liquidation judiciaire...Confiserie du Tech et Comptoir de Mathilde se sont partagés les restes...en juillet 2025... 
et la nouvelle n'arrive à moi que maintenant... est-ce qu'ils ont vendu au rabais du stock....
Les sites des repreneurs sont pauvres en photos... rien qui fasse envie de quoique ce soit... 
sur ma To Do List, localiser et lire un bouquin de ce type 
Claude McKay
romancier et poète jamaïcain, naturalisé américain (1889-1948)
connaît pas, un critique recommandait de le  lire plutôt que le dernier Percival Everett.... 
sa page wikiped' est copieuse 

Il fut un grand voyageur, passant la majeure partie de sa vie entre les États-Unis, l'Europe et le Maroc. Il visita longuement l'URSS après la révolution d'Octobre
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McKay rejoint un groupe de militants noirs radicaux en désaccord aussi bien avec le nationalisme noir de Marcus Garvey qu'avec le réformisme de la NAACP. Le groupe inclut des Noirs antillais comme Cyril Briggs (en), Richard B. Moore (en), Wilfrid Domingo. Ils veulent lutter pour le principe d'autonomie noire au sein d'un mouvement socialiste révolutionnaire. Ensemble, ils fondent une organisation secrète semi-clandestine, l'African Blood Brotherhood.
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 Il devient un journaliste salarié pour le journal ; certains affirment qu'il fut le premier journaliste noir en Grande-Bretagne
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En novembre 1922, il assiste au quatrième congrès de l'Internationale communiste. Bien accepté par le public russe, il voyage dans tout le pays pendant six mois et donne des conférences sur l'art et la politique. Plusieurs de ses articles sont réédités en URSS dans la presse soviétique sous le titre Negroes in America (1923) et offrent une interprétation marxiste de l'histoire des Afro-Américains. 
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Durant son séjour il rencontre par plusieurs fois Léon Trotski qu'il considère comme le meilleur leader communiste. Trotski lui répondra au sujet de la « Question noire ». 
Peu à peu, malgré son affection pour le peuple russe et son admiration pour Trotski, il prend des distances envers le communisme.
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Lorsque McKay quitte l'Union soviétique, il se rend à Berlin, puis Paris où il fréquente les milieux culturels dont le salon littéraire de Jeanne et Paulette Nardal à Clamart. Il y rencontre notamment le Martiniquais Aimé Césaire, alors étudiant. Entre Berlin et Paris, il fait également la connaissance d'Alain Locke, de Jessie Redmon Fauset et de Jean Toomer.
Après avoir déménagé au Maroc, 
Il meurt d'une crise cardiaque à Chicago

<<<<pas l'impression qu'il était claire de peau donc tous ses voyages ont bien dû sentir vous  savez quoi... oui le rassismus
Google me dit que.... 

I was the first McKay scholar to discover and comment upon Ogden’s correspondence with McKay, which was an extraordinary find consisting of a rich cornucopia of letters that deal with McKay’s daily experience in London – the racism he encountered, the way in which he was attacked by racists in the streets of London.... 
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WJ He had a peculiar position within Jamaican society. He was Black with very dark skin, and he was also from a family that was relatively prosperous
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I mentioned the darkness of Claude’s skin because in Jamaica and in much of the Caribbean at the time, the darker you were, the lower down the social ladder you were. It’s as if you could read off one’s color and class in one grid; if you were dark, you were working class; if you are light-skinned, you were likely of mixed descent and thus in the middle class, above the dark-skinned working class people; and if you were white, you were in the upper class. So, you didn’t see white people doing manual work, for instance, in the Caribbean. This class positioning was reproduced over and over again with each generation, and into the 20th century; arguably up to the 1970s.
Il a donc morflé, pas l'énergie pour savoir comment ça se passait au Maroc.... 
dans mon feed youtube 
il y avait cet être...il se passe trop de chose sur ce visage pour prêter attention à ce qu'elle raconte...et c'etait l'énième video que les algorithms portent à ma connaissance, sur la personne de mam' Markle et du prince rouquin... 
Je n'ai pas tenu assez longtemps pour savoir ce qu'elle lui reproche... 
quelqu'un nous dit que : 

Lors de cette projection à Abidjan, en Côte d'Ivoire, les témoignages s’enchaînent à l'écran. Pendant 75 minutes, journalistes, influenceuses ou encore artistes racontent comment les insultes sexistes, les menaces et la haine en ligne ont bouleversé leur vie. Derrière ce projet, la réalisatrice franco-tchadienne Aché Ahmat Moustapha, elle-même victime de cyberharcèlement. Son objectif : inciter les femmes à briser le silence. « Il va falloir encourager les victimes à ne pas se taire, à dénoncer le cyberharcèlement qu’elles subissent et puis la responsabilisation des plates-formes qui, malgré certains outils, certains dispositifs qu’ils mettent en place pour que les utilisateurs puissent se protéger. Eh bien, on ne peut pas ».
Aché Ahmat Moustapha, 40 ans est née à  N'Djamena, est sociologue en communication, réalisatrice et auteure tchadienne. 
Je sais bien qu'il faille occuper le terrain, mais les insultes sexistes, les menaces, la haine, ben heu, ça va avec internet et la couleur de la peau .. vous êtes un aimant....ou pas, dépend de l'humeur des fâcheux....si vous les énervez..... 
les africaines du continent où celles du reste du monde.... 
dans le feed, une video de MacFly et Carlito, il y avait : 
elle serait très présente sur Insta... dit faire des études de droit international, et donc a une chaîne youtube sur les bonnes manières.... 
Bien sûr que je n'ai pas d'énergie pour elle... 
comme tout le monde se copie, les algorithmes me font savoir, que le même contenu existe depuis longtemps en anglais... 
ÊTRE UN "BOUNTY" : histoire, racisme intériorisé et estime de soi
Ahahahaha et ha
Ok! c'est son son corps, son argent, sa vie, mais on a le droit de lever un sourcil sur cette transformation qui donne à penser
"au secours, je suis une femme blanche et blonde coincé dans le corps d'une femme noire et je suis en train de me liberer". 
J. Branco défendait les accusés dans l'affaire qui ne fait pas sens : des gens se sont fait prendre parce qu'ils propageaient la theorie selon laquelle, la femme du président est homme et même, que son frère etelle, sont la même personne..... un trans.. 
J'ai lu, j'ai même essayé de tenir devant les vidéos de Candace O., je ne comprends pas le noeud de cette opinion....ils veulent aussi qu'elle montre son acte de naissance, son entre- jambe.... 
Par contre, rien sur le comment, elle a pu donner naissance à 3 enfants..... 
Il y avait cette fille noire dans le plan..... avec cette peau qui brille.... 
La Jamaïque s'est prit un coup de vent dans la tronche
et a vaguement tenu le haut de l'affiche parce que des touristes... trainaient dans le coin...
c'te là, a été adopté et ne comprends pas pourquoi, sa famille a osé lui demander de l'oseille..... le truc rouge qu'elle porte est une vraie distraction.... Elle n'a rien compris au film..... 
J'ai passé une bonne après-midi à essayer de me soyvenir du titre d'une nouvelle de Maupassant,où deux familles pauvres, sont voisins...... 
Je me suis même tournée vers Tchat gpt, qui m'a proposé 5 titres qui n'avaient rien à voir avec mon résumé.... j'ai googelisé Maupassant adoption, et wikiped' m'a donné le titre exact : Aux champs 

 Les Tuvache et les Vallin sont des paysans pauvres possédant huit enfants à eux deux. Un jour, un couple de riches bourgeois en mal d'enfants propose à la mère Tuvache d'adopter Charlot, son petit dernier. Elle refuse, outrée, et le couple se tourne alors vers la famille Vallin qui, elle, accepte de lui vendre Jean en échange d'une rente annuelle. Quinze ans plus, tard, l'enfant, devenu un Monsieur, revient voir sa famille.

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 ..... Il prenait vingt et un ans, quand, un matin, une brillante voiture s’arrêta devant les deux chaumières. Un jeune monsieur, avec une chaîne de montre en or, descendit, donnant la main à une vieille dame en cheveux blancs. La vieille dame lui dit :
C’est là, mon enfant, à la seconde maison.
Et il entra comme chez lui dans la masure des Vallin.
La vieille mère lavait ses tabliers ; le père, infirme, sommeillait près de l’âtre. Tous deux levèrent la tête, et le jeune homme dit :
— Bonjour, papa ; bonjour, maman.
Ils se dressèrent, effarés. La paysanne laissa tomber d’émoi son savon dans son eau et balbutia :
— C’est-i té, m’n éfant ? C’est-i té, m’n éfant ?
Il la prit dans ses bras et l’embrassa, en répétant : « Bonjour, maman. » Tandis que le vieux, tout tremblant, disait, de son ton calme qu’il ne perdait jamais : « Te v’là-t’il revenu, Jean ? » Comme s’il l’avait vu un mois auparavant.
Et, quand ils se furent reconnus, les parents voulurent tout de suite sortir le fieu dans le pays pour le montrer. On le conduisit chez le maire, chez l’adjoint, chez le curé, chez l’instituteur.

Charlot, debout sur le seuil de sa chaumière, le regardait passer.
Le soir, au souper, il dit aux vieux :
— Faut-il qu’vous ayez été sots pour laisser prendre le p’tit aux Vallin !
Sa mère répondit obstinément :
— J’voulions point vendre not’ éfant !
Le père ne disait rien.
Le fils reprit :
— C’est-il pas malheureux d’être sacrifié comme ça !
Alors le père Tuvache articula d’un ton coléreux :
— Vas-tu pas nous r’procher d’ t’avoir gardé ?
Et le jeune homme, brutalement :
— Oui, j’vous le r’proche, que vous n’êtes que des niants. Des parents comme vous, ça fait l’malheur des éfants. Qu’vous mériteriez que j’vous quitte.
La bonne femme pleurait dans son assiette. Elle gémit tout en avalant des cuillerées de soupe dont elle répandait la moitié :
— Tuez-vous donc pour élever d’s éfants !
Alors le gars, rudement :
— J’aimerais mieux n’être point né que d’être c’que j’suis. Quand j’ai vu l’autre, tantôt, mon sang n’a fait qu’un tour. Je m’suis dit : « V’là c’que j’serais maintenant ! »
Il se leva.
— Tenez, j’sens bien que je ferai mieux de n’pas rester ici, parce que j’vous le reprocherais du matin au soir, et que j’vous ferais une vie d’misère. Ça, voyez-vous, j’vous l’pardonnerai jamais !
Les deux vieux se taisaient, atterrés, larmoyants.
Il reprit :
— Non, c’t’idée-là, ce serait trop dur. J’aime mieux m’en aller chercher ma vie aut’part !
Il ouvrit la porte. Un bruit de voix entra. Les Vallin festoyaient avec l’enfant revenu.
Alors Charlot tapa du pied et, se tournant vers ses parents, cria :
— Manants, va !
Et il disparut dans la nuit.

>>>>>elle n'a pas compris qu'elle est comme le p'tit Valin.